Togo-Covid-19 : Aucun décès signalé vendredi
Retrouvez ici tous le bilan complet annoncé ce vendredi 22 octobre 2021.
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Les trois personnes ont rendu l’âme avent l’arrivée des médecins appelés au secours, selon les informations.
Ce jeune de 32 ans revenait de la banque quand il a été fauché par les balles assassines des braqueurs.
Odette Gnintegma s’est distinguée en inscrivant un triplé (2e, 65e et 68e minutes).
L’usine Mèches Amina, spécialisée dans la fabrication de cheveux synthétiques, tourne au ralenti. Depuis un mois, les salariés sont en grève pour protester contre des fins de contrat et de réclamer de meilleurs conditions de travail. Après la fermeture de l’entreprise, pour retrouver leur emploi, les coréens (propriétaire de l’entreprise) exigent des travailleurs des lettres d’excuses. Une affaire qui suscite de vives réactions. Pendant ce temps, le gouvernement se mue dans une curieuse attitude.
La Cour de Justice de la CEDEAO vient de condamner le Togo dans deux affaires de torture. Le pays est sommé de payer de très forte somme d’argent aux citoyens victimes de traitements inhumains, cruels et dégradants. Dans une déclaration, le Mouvement Martin Luther King (MMLK) déplore le non-respect des droits de l’homme au Togo. Il invite l’Etat à honorer les engagements internationaux qu’il a ratifiés en matière de lutte contre la torture et autres traitements inhumains. Lecture !
Les deux arrêts ont été rendus en juillet, ils viennent d’être publiés sur le site de la Cour de justice de la Cédéao. La première victime est une femme battue lors de la répression d’une manifestation d’opposants à Lomé en septembre 2017. La deuxième affaire remonte à 1998 et concerne un militaire.
La capitale togolaise accueille depuis ce jeudi 21 octobre 2021 les travaux du 4è sommet mondial des filles, premier du genre en Afrique. Mme la Présidente de l’Assemblée nationale, Yawa Djigbodi Tsègan, a présidé la cérémonie d’ouverture de ce grand rendez-vous mondial qui a mobilisé des délégations de filles venues des quatre coins du monde en présence de la première Dame du Burkina Faso, Sika Kaboré, de Christian Trimua, Ministre des Droits de l’Homme, de la Formation à la Citoyenneté, des Relations avec les Institutions de la République et Porte-parole du Gouvernement, des membres du gouvernement, des députés à l’Assemblée nationale, des acteurs de la société civile entre autres.
Nous parlions à juste mot dans la précédente édition d’un pays comme étant, « …l’éboueur de l’Afrique francophone ». De père en fils, si de vulgaires scandales ont suffi à défaire des régimes politiques sous d’autres cieux, ils passent inaperçus dans un pays. Mieux, ils nourrissent la longévité du règne politique. Il existe sur le continent noir francophone un territoire dont le nom est associé aux scandales sans que les occidentaux, la France en première loge, y trouvent un problème. Le règne élastique se nourri de méthodes de voyou qui ne perturbent aucun pays voisin, aucune puissance. Pire, à chaque fois que le nom de ce territoire s’invite à un débat, en toute condescendance et ignorance de cette racine du mal-être africain, ils sont nombreux ces pseudo analystes qui s’empressent de parler de « petit pays d’Afrique ». Oui, Tout le monde le dit, même les « grands » pays sahéliens secs de l’Hinterland qui ploient sous le fléau du djihadisme.
1961 – 2021, cela fait 60 ans que le Goethe-Institut a ouvert s’est installé à Lomé dans le cadre d’une mission bien précise : Contribuer à la promotion de la culture allemande sur le territoire togolais, un symbole des relations interculturelles entre la République Fédérale d’Allemagne et le Togo.