Togo-Le Maire Aboka revient enfin à la raison
Le Maire de la commune Golfe 5, Kossi Aboka, est finalement revenu sur sa décision.
Le Maire de la commune Golfe 5, Kossi Aboka, est finalement revenu sur sa décision.
Dans un nouveau message à la nation, l’opposant Agbéyomé Kodjo lance un appel à tous les Togolais et aux leaders de l’opposition pour un sursaut patriotique en vue d’exiger le respect de la vérité des urnes du scrutin présidentiel du février 2020.
Agbéyomé Kodjo dans son nouveau message à la nation ce 13 avril 2021, a voulu tenter une trêve avec l’ANC. A en croire l’opposant, lorsque le choix de Mgr Kpodzro s’est porté sur lui en tant que candidat unique de l’opposition, il l’avait décliné au profit de son confrère Jean-Pierre Fabre. L’ancien Premier ministre estime également qu’il a toujours soutenu l’ANC, et ce depuis 2010.
Le Chef de l’Etat Faure Gnassingbé anime ce mercredi son premier conseil des ministres du mois d’avril.
La dernière décision du Maire Kossi Aboka fait réagir Nathaniel Olympio du Parti des Togolais. Selon l’opposant, le maire du Golfe 5 n’a aucune considération pour ses administrés.
Intervenant dimanche dans l’émission « D12 » sur la radio Pyramide FM, Eric Dupuy de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) s’est prononcé sur plusieurs sujets de l’actualité. Le coronavirus, la campagne vaccinale et la visite de Faure Gnassingbé à l’Elysée.
Depuis le rebondissement de l’affaire Bolloré, nombreux sont ces internautes qui se lancent dans des accusations. Dénonçant surtout le silence sépulcral de certains opposants dans le cadre de cette affaire.
Le président national de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) connait très bien les maux qui minent le football togolais. Il l’a fait savoir récemment sur une radio de la place.
Agbéyomé Kodjo digère très mal le « hold-up » électoral du 22 février 2020. Ses réactions sur le réseau social Twitter en disent long.
Un témoignage très attendu, jeudi 8 avril, au procès du bombardement de Bouaké, dans lequel 9 militaires français avaient été tués le 6 novembre 2004. Le ministre togolais de l’Intérieur de l’époque, François Boko, entendu par visioconférence, a détaillé comment, alors qu’il avait mis les auteurs présumés du raid à disposition des autorités françaises le 16 novembre, celles-ci ont refusé de s’en saisir.