Les larmes d’outre-tombe d’Ornella Laine : Un si triste devoir de violence
Sur une plage déserte, sûrement celle de Lomé, une jeune femme, la trentaine, fixe le vide, le regard profond et serein, comme si elle est en train d’interroger l’éternité ou quelque dieu. Elle porte une chemise bleue rayée sur une culotte noire. A un son bras gauche, elle a accroché un sac à main noir, et sa main gauche tient un téléphone portable. Sur la photo, les internautes ont écrit : « RIP, Ornella. »