La scène de jalousie se passe en terre ivoirienne, dans le quartier Blaidy à Bocanda. Un forgeron soupçonnant sa femme d’infidélité, la tabasse copieusement. Pensant l’avoir tuée, il se donne ensuite la mort.
Alors que le chef de l’État Faure Gnassingbé se trouvait à Paris dans le cadre d’une visite officielle. Dans un tweet ce mardi 13 avril, Faure Gnassingbé salue la mémoire de l’illustre disparu.
Un témoignage très attendu, jeudi 8 avril, au procès du bombardement de Bouaké, dans lequel 9 militaires français avaient été tués le 6 novembre 2004. Le ministre togolais de l’Intérieur de l’époque, François Boko, entendu par visioconférence, a détaillé comment, alors qu’il avait mis les auteurs présumés du raid à disposition des autorités françaises le 16 novembre, celles-ci ont refusé de s’en saisir.
Le controversé rappeur est décédé ce vendredi 9 avril dans un hôpital de New York à l’âge de 50 ans. Cause de sa mort un infarctus, lui-même provoqué par une surdose.
Les opérations se déroulent du 12 au 17 avril 2021 dans les locaux du CNTS à Tokoin Doumassesse, dans le strict respect des mesures barrières édictées par les autorités pour rompre la chaîne de transmission du coronavirus.
Interdite au premier abord pour cause de Covid et de risque profonds de rivalités internes, le ministre de l’administration territoriale, Payadowa Boukpessi est, deux jours plus tard, revenu sur sa décision. M. Boukpessi a donné quitus à la célébration du bicentenaire du clan Zankli Lawson à Lolan, à Aného. A l’arrivée, un mic-mac saisissant qui révèle une malheureuse évidence .
La cheffe du gouvernement, Victoire Tomegah Dogbé a procédé, vendredi 9 avril 2021, à l’inauguration de ces infrastructures complémentaires.
Lors de son interrogatoire, le major Akim admis en retraite mais accusé de « tentative de déstabilisation » est décédé dans une caserne militaire sise sur l’île d’Anjouan. Les circonstances de sa mort provoquent un choc dans le pays.
Maurice Dahuku Péré n’est plus. L’homme a tiré sa révérence dans la journée d’hier vendredi.
Selon la LCT, les cours de répétions dans les établissements scolaires « pénalise les élèves qui n’ont pas de moyens financiers (…) et aussi rame à contre-courant de l’objectif de l’éducation pour tous que vise à atteindre notre pays ».
