Mali-Des positions de l’armée attaquées ce dimanche
La situation est sous contrôle, précise l’armée. Aucun bilan n’a été communiqué pour l’instant.
La situation est sous contrôle, précise l’armée. Aucun bilan n’a été communiqué pour l’instant.
Dans un communiqué publié ce samedi 23 avril 2022, l’Etat-Major des Armées Maliennes a démenti une énième rumeur faisant état de la montée en puissance des Forces Armées Maliennes avec des ambitions de contrecarrer l’application de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation (APR) .
Les autorités maliennes annoncent avoir officiellement procédé jeudi 21 avril 2022, au transfert du camp de Gossi de l’opération Barkhane aux Forces Armées maliennes (FAMa).
Dans cette nouvelle Chronique, le confrère Alain Foka révèle les insuffisances de l’organisation sous régionale ouest africaine, surtout son intervention dans la crise malienne.
La Russie a bloqué une demande du Conseil de sécurité des Nations unies pour des “enquêtes indépendantes” sur le massacre présumé de civils au Mali par l’armée malienne et des paramilitaires russes, ont indiqué samedi des sources diplomatiques à l’AFP.
Les autorités maliennes ont répondu mardi aux accusations selon lesquelles les FAMa auraient tué des civils dans la région de Moura, alors que le pays annonce des triomphes dans la lutte contre le terrorisme.
L’Etat-major Général des Armées maliennes annonce la neutralisation d’au moins 203 terroristes au cours d’une opération menée dans la zone de Moura à 17 kilomètres au Nord-est de Kouakourou dans le cercle de Djenné.
Le Mali semble profiter des relations avec la Russie après avoir exigé le départ des soldats français de ses territoires. Bamako annonce mercredi la réception de nouveaux équipements militaires.
Il avait à cœur le devoir, sacré, d’une nation, qui était de protéger ses citoyens. Mais lorsque, à une période délicate de sa vie, le « grand serviteur de l’État » a eu besoin de protection, on l’a tout simplement abandonné à son sort…
Jeudi 24 mars 2022, la cour de justice de l’UEMOA, sans attendre de statuer sur le fond des requêtes formulées le 15 février passé par un collectif d’avocats agissant au nom et pour le compte de l’État du Mali, visant la levée ou la suspension des inimaginables sanctions économiques et financières prises illégalement, le 09 janvier dernier par la conférence des chefs d’État de la CEDEAO, a, comme l’on pouvait s’y attendre, ordonné le sursis à exécution de celles-ci, après avoir acté la recevabilité desdites requêtes.