En réaction contre le coup d’état militaire du 26 juillet 2023, les chefs d’états de la CEDEAO, sur la pression irrésistible des dirigeants des grandes puissances occidentales pour leurs propres intérêts économiques et géopolitiques, ont prétendu défendre par la contrainte et la force la démocratie et l’ordre constitutionnel au Niger, en prenant le 30 juillet 2023 des mesures économiques et politiques d’une rare sévérité et brutalité, allant jusqu’à la menace d’une intervention militaire concertée, contre « le peuple martyr » nigérien,