Des explications du vice-président de la société civile du territoire de Kwamouth, Martin Suta, relayées par la radio des Nations unies en République démocratique du Congo, 24 personnes ont été tuées, dont 07 assaillants.
En République démocratique du Congo mercredi dernier, un “pasteur” d’une église évangélique nommée Galako, a offert en sacrifice à Dieu son fils en l’égorgeant.
Selon plusieurs sources dont Radio Okapi, le bilan officiel livré dimanche par le ministre de l’Intérieur Daniel Aselo, fait état de 11 morts dans la bousculade, dont 02 policiers.
« Le porte-parole des opérations militaires Sokola 1 grand nord, capitaine Anthony Mwalushay indique que ces Maï-Maï, membres de la coalition Baraka et Mazembe, sont venus attaquer une position militaire des FARDC dans cette localité », souligne la radio des Nations unies en RDC.
Selon la radio des Nations unies en République démocratique du Congo, le porte-parole des opérations Sokala 2, le colonel Guillaume Njike Kaiko, a indiqué que des rebelles M23 ont été capturés au cours des combats.
La dépouille de Mobutu Sese Seko, ancien président de la RDC, décédé et enterré au Maroc en 1997, pourrait être rapatriée dans son pays natal.
Aucun bilan définitif pour l’instant. Néanmoins, un bilan provisoire établi fait état de 07 civils tués, des dégâts matériels, des habitations, des magasins et boutiques, le poste du sous commissariat de la Police nationale congolaise, ainsi que le centre de santé de Maboya incendiés par les assaillants.
Selon radio Okapi, six miliciens ont été tués et trois armes de guerre récupérées dans cet accrochage entre les Forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC) et la coalition de Mai-Mai Mazembe et Baraka.
C’est en présence de Félix Tshisekedi, le président de la République démocratique du Congo (RDC), que le lieutenant-général Christian Tshiwewe a pris fonction en tant que le nouveau chef d’état-major général des forces armées.
Ces chiffres, rapporte ce mercredi Radio Okapi, ont été livré mardi par le Haut Commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à l’occasion d’une conférence de presse régulière à Genève en Suisse.
