Togo – Elections : La Cour Suprême valide 284 listes
La Chambre administrative de la Cour Suprême du Togo a annoncé hier la liste définitive des candidats retenus pour les élections régionales prévues le 20 avril prochain.
La Chambre administrative de la Cour Suprême du Togo a annoncé hier la liste définitive des candidats retenus pour les élections régionales prévues le 20 avril prochain.
The Conference of Bishops in Togo (CET) has voiced vehement opposition to the recent adoption of a contentious constitutional revision by the Togolese National Assembly. This revision, which transitions the nation into the Fifth Republic, shifting from a semi-presidential to a parliamentary system, makes president Faure Gnassingbé eligible for potential two additional 6-year terms.
Une conférence de presse organisée par les partis d’opposition et des groupes de la société civile a été interrompue par les gendarmes mercredi matin, moins de 48 heures après l’adoption d’une nouvelle Constitution.
C’est dans des moments douloureux comme celui-ci que l’on éprouve la parole par laquelle le regretté poète éwé, Kofi Awoonor, s’écria que « la mort n’est pas une proie à attraper ». Hélas !
Ce mardi matin, un nouvel accident tragique a endeuillé la Nationale N°5, plus précisément à Adidogomé, au carrefour Amenope. Un jeune homme, âgé d’environ 30 ans, a perdu la vie dans des circonstances dévastatrices d’après Leneutre.info
Ce mercredi 27 mars, des acteurs de l’opposition et de la société, réunis au siège du parti ADDI à Lomé, ont voulu animer une conférence de presse pour dénoncer la nouvelle révision constitutionnelle. Mais leur rencontre avec la presse a été tuée dans l’oeuf.
L’ONG AIMES AFRIQUE a organisé une mission médico-chirurgicale foraine gratuite à Atakpamé dans la préfecture de l’Ogou du 18 au 24 mars 2024. Des milliers de malades ont été consultés au cours de ladite campagne couvrant 4 communes de cette préfecture.
Se présentant comme membre des forces progressistes, Soter-Caïus Dovi est, lui aussi, contre la révision constitutionnelle opérée à l’Assemblée nationale ce mardi 25 mars et contre laquelle presque toute l’opposition et la société civile est vend debout.
Le Directeur de publication du journal « La Dépêche », Apollinaire Mewenemesse est actuellement en garde à vue à la Brigade de recherche et d’investigation (BRI) de la Police nationale. On se rappelle la convocation qu’il a reçue la semaine dernière pour se présenter ce mardi 26 mars 2024.
«…Chose curieuse, des combattants de la démocratie et de la liberté d’hier, se sont transformés aujourd’hui en griots réfutant tout esprit critique dans leur soutien aux régimes militaires du Sahel. Que l’on jette des journalistes en prison et que l’on ferme leurs organes de presse, ils réagissent en dénonçant la traîtrise. Que la société civile proteste et soit jetée en prison, ils rétorquent que ça leur apprendra à se taire et à ne plus critiquer. Que l’on embastille les opposants politiques et expédie leurs leaders âgés de 70 ans dans l’armée au front contre les djihadistes, leur souhait c’est de les voir morts le plus tôt possible, car l’on n’a pas eu le courage de les exécuter publiquement comme le font les tueurs sans foi ni loi. En quoi sont-ils meilleurs que les anciens dirigeants criminels et kleptocrates? Il ne faut pas échanger un voleur contre un sorcier, nous dit l’adage. Or toutes ces façons criminelles de faire la politique, nous les avions tous dénoncées au niveau des régimes crapuleux précédents à la solde de l’impérialisme. Avons-nous perdu la mémoire?…» (Prof.Ayayi Togoata APÉDO-AMAH, 20 mars 2024, sur Icilomé.com).