Entre démocratie et diplomatie, le régime des Gnassingbé a fait le choix. Alors que les ressources du pays sont mobilisées pour un rayonnement diplomatique, aucun effort n’est fait pour faire naitre la démocratie au Togo. Au contraire, tout élan allant dans ce sens est étouffé, au nom d’une paix et d’une stabilité qui sont difficilement perceptibles dans le pays.
Près d’un million de personnes vivent dans des conditions de famine. C’est l’amer constat fait par le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, à l’occasion de la journée mondiale de l’alimentation. Dans un message rendu public dimanche,il invite les pouvoirs publics, les scientifiques, le secteur privé et la société civile à changer la donne.
S’il y a des élus locaux, c’est certainement parce qu’à un moment donné, on s’est laissé guider par un souci de proximité dans la prise en charge des problèmes de la collectivité. Et la proximité permet justement de prendre en compte tous les aspects de la vie des citoyens, de mieux voir ce qui les différencie, mais surtout ce qui les unit, ce qui fait en quelque sorte leur identité commune.
La crise post-électorale ivoirienne de 2011, entre autres conséquences, a entrainé l’exil de plus 300 000 ivoiriens dont 7000 environ avaient trouvé refuge au Togo dans un camp spécial construit à Avépozo, quartier à l’Est de Lomé sur la Nationale N°2. Depuis ce vendredi 14 octobre 2022, ce camp est rasé et les réfugiés ivoiriens s’y trouvant encore purement et simplement expulsés manu militari.
Les cinq élèves incarcérés à la prison de Dapaong, six mois après la grève menée par leurs enseignants, ont été libérés ce lundi matin, apprend-on.
Ce dimanche 16 octobre, Ibrahim Mamoudou s’empare de la médaille d’or lors de la dernière journée de l’Open international du Sénégal à Dakar contre l’Ivoirien Jean-Ezéchiel Kouame dans la catégorie de moins de 74 kg.
Le District autonome du grand Lomé (DAGL) organisera le 5 novembre une course à pied. Il s’agit d’une première édition d’un évènement appelé à perdurer dans le temps.
Napo Léon Gbati, le candidat malheureux aux élections du Haut conseil des togolais de l’extérieur (HCTE) de Côte d’Ivoire, et son équipe félicitent les vainqueurs de ce scrutin et « appellent les autorités compétentes à prendre en charge les imperfections et insuffisances relevées par les électeurs, les candidats et les observateurs, en vue d’améliorer l’organisation des élections futures ».
Il se passe des choses bizarres dans ce pays. N’y a-t-il plus aucun repère ? Aucun respect ? Nous venons de prendre connaissance du faire-part des obsèques du défunt roi du peuple Adja, Kpoyizoun Adja Tonevakpo, le 187eme souverain d’une longue dynastie qui a défié le temps.
L’IGNORANCE TUE LA LUTTE DE LIBÉRATION : TOGO, DU CANDIDAT DE LA FRANCE AU PANAFRICANISME La lutte de libération pour…
