Togo- Artistes et liberté d’expression : l’urgence d’un nouveau pacte social
L’art, depuis toujours, se déploie dans les marges du pouvoir et au cœur de la société. Les artistes sont porteurs…
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A powerful wave of discontent is building in Togo as the country approaches June 6, a date now set by…
Le mouvement de solidarité autour de l’artiste Aamron, arrêté il y a quelques jours dans des circonstances encore floues, prend…
Le chanteur togolais Santrinos Raphaël a pris position ce lundi sur l’affaire Aamron, appelant les autorités à faire preuve de…
L’artiste togolais tourne la page de la musique pour se consacrer à autre. L’activiste David Kpelly fait partie de ceux qui admirent l’œuvre laissée par le désormais ex-rappeur.
C’est en 2009 qu’il fait une entrée fracassante sur la scène du hip hop togolais à travers le single éponyme Amron, suivi par un album, ”Black Boys”, de 16 titres, un an plus tard. Aujourd’hui, l’artiste dit qu’il arrête la musique pour se consacrer à autre chose.
En Afrique, “Les artistes ne vivent pas de leurs arts”, dit-on. Un constat notoire qui relance le débat sur l’épanouissement d’un artiste, surtout de la chanson grâce à ses œuvres. Une bien triste situation qui met certains talents sous éteignoir. Toutefois, des initiatives encourageantes portent en elles, des fruits allant dans le sens de l’épanouissement des icônes, porteuses du flambeau de la musique africaine dans toute sa composante.