Mali-Base militaire de Kati : Situation sous contrôle, 02 assaillants tués (Armée)
Les FAMa indique avoir répliqué « vigoureusement », tuant 02 assaillants. Un ratissage des lieux se poursuit afin de débusquer les auteurs et leurs complices.
Les FAMa indique avoir répliqué « vigoureusement », tuant 02 assaillants. Un ratissage des lieux se poursuit afin de débusquer les auteurs et leurs complices.
Les autorités maliennes ont accueilli jeudi une délégation de la communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), le même jour, une autre mission de l’organe sous régionale était en Guinée, au pays de Mamady Doumbouya.
L’ancien Premier ministre ivoirien, Guillaume Kigbafori Soro n’est pas indifférent à la situation des 49 militaires de son pays arrêtés au Mali. L’opposant ivoirien, en exile, estime que le Chef de l’État togolais Faure Essozimna Gnassingbé est l’un des personnes mieux placées pour résoudre cette crise diplomatique entre Bamako et Abidjan.
L’attaque, a indiqué la MINUSMA, est survenue sur l’axe Tessalit-Gao. Le convoi logistique a sauté sur une mine au passage de leur véhicule.
Il se rendait au chevet de sa femme hospitalisé à l’hôpital quand il a été assassiné, a indiqué vendredi la Mission de l’ONU au Mali.
Ces attaques sont attribuées aux combattants de la Katiba de Macina de Amadou Kouffa « dont plusieurs, parmi les auteurs, ont été formellement identifiés », souligne les autorités de Bamako.
Le carnage a eu lieu le dimanche 12 juin dernier. Les victimes se trouvaient « dans un campement non loin de la localité d’Izingaz (commune d’ihinita, cercle de tidermene, région de Menaka) », souligne le communiqué.
L’organisation intergouvernementale ouest-africaine « regrette » une décision des militaires au pouvoir au Mali intervenue pendant que « les négociations se déroulent encore, en vue de parvenir à un consensus. »
« La durée de la transition est fixée à 24 mois, pour compter du 26 Mars 2022 conformément à l’article 22 de la loi no 2022-001 du 25 février pour révision de la charte de la transition », indique le communiqué signé le colonel Assimi Goïta, président de la transition, faisant office de chef de l’État.
L’objectif des présumés putschistes était de « briser la dynamique de la Refondation du Mali », selon les autorités du pays.