« A la base de ces accrochages, le meurtre du directeur d’une école de Loga par des présumés miliciens de Zaïre. Ce qui a excité la colère des miliciens de la CODECO dont la victime est originaire (…) », renseigne la radio des Nations unies en République démocratique du Congo.
L’attaque qui était survenue le jeudi 8 décembre 2022, à 5 heures du matin. Elle a occasionné la mort de six personnes, dont trois militaires. Un capitaine de l’armée a été également blessé, a indiqué le député national Guy Musomo, selon des journaux congolais en ligne.
« Le drame s’est passé à Kamango, localité de la chefferie de Watalinga, dans le territoire de Beni », a rapporté jeudi Radio Okapi.
C’est dans le territoire de Nyiragongo. Selon Radio Okapi, l’administrateur de ce territoire, le commissaire supérieur Patrick Iduma, confirmant l’information a indiqué que le soldats en question était en « état d’ébriété ».
Des heurts ont éclatés entre les éléments de la police nationale déployés sur le campus pour rétablir l’ordre et les manifestants.
Dans les localités Kishishe, Kisharu et Rubare, territoire de Rutshuru, province du Nord-Kivu dans l’Est de la RDC, cette rébellion a massacré 42 civils et enlevé d’autres personnes.
Les faits remontent en 2015. Les quatre éléments des FARDC en effet sont poursuivis « pour fuite devant l’ennemi et démoralisation des troupes », souligne la radio des Nations unies en RDC
Selon Radio Okapi qui a rapporté l’information de sources militaires, ses frères d’armes lui devaient de l’argent. Et, c’est un malentendu au sujet d’une dette qui est à l’origine du drame.
A en croire la Radio des Nations unies en RDC qui rapporte l’information citant un membre de la société civile, « les assaillants armés seraient venus de la chefferie de Tchabi, dans la province de l’Ituri », lit-on.
Selon Radio Okapi, le président de la société civile de Mamove, Kinos Katuwo a relevé que 09 autres corps ont été découvert mercredi dans la brousse.
