Les Forces de défense de l’Ambazonie, un mouvement séparatiste des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun, reconnaissent le meurtre du journaliste, mais parlent d’une « erreur » sur la cible, a rapporté mardi RFI.
Le meurtre de Anye Nde Nsoh, rappelons-le, survient quatre mois après l’assassinat Janvier dernier, de Martinez Zogo, directeur de la radio Amplitude FM.