A l'orée de cette nouvelle année, le Collectif des Associations Contre l'Impunité au Togo (CACIT) vient, par la présente, vous adresser ses meilleurs vœux à vous-mêmes, à vos collaborateurs ainsi qu'à vos familles. Elle vous souhaite aussi plein succès dans vos missions. pour la garantie des droits des citoyens au Togo.
A quand la libération des détenus politiques? Au Collectif des associations contre l’impunité au Togo (CACIT), la question est au coeur des débats depuis quelques temps.
Le procès du Général de Brigade Félix Abalo Kadangha a démarré ce lundi 23 octobre. Un jugement que le Collectif des Associations Contre l’impunité au Togo (CACIT) suit de près espérant « que les juridictions militaires traiteront avec la même célérité tous les dossiers existants et à venir ».
La liberté d’expression et de presse est en question, depuis quelque temps, face aux restrictions manifestes et coups de boutoir, légitimés (sic) par le cadre légal d’exercice et le code de la presse. Le Collectif des associations contre l’impunité (CACIT) veut concourir à une amélioration du texte et donc à une jouissance pleine et entière de ces droits. Dans cette perspective, elle engage une campagne et entend déployer un plaidoyer.
La semiane dernière, des acteurs de la chaîne pénale au Togo étaient rénuis en atelier de renforcement de capacité dans le cadre de la prévention de la torture.
<< Le CACIT se réjouit en ce 05 octobre 2022 marquant la journée internationale des enseignants de la libération des 3 enseignants du SET arrêtés le 8 avril 22 dans le cadre de leurs mouvements de grève. Nous continuons le plaidoyer en faveur de la libération des 05 élèves arrêtés dans le même cadre >>, a indiqué mardi sur Twitter l'association de défense des droits humains.
Le Collectif des associations contre l’impunité au Togo (CACIT) et ses partenaires lancent Hackathon, une compétition pour améliorer les conditions des détenus.
Dans le cadre de l’Examen périodique universel (EPU), le Collectif des associations contre l’impunité au Togo (CACIT) a identifié un certain nombre de recommandations qu’il considère comme prioritaires voire « urgentes ».
Une vingtaine de jeunes ont contribué à écrire l’ouvrage « Protégez nos droits ». Le livre a été réalisé dans le cadre du concours de rédaction de pièces de théâtre dénommé « Jus in Cultura ».