En janvier dernier, le Togo s'est rendu au Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève, en Suisse, dans le cadre de l'Examen périodique universel (EPU). Au total, 224 recommandations ont été formulées à l’endroit du pays par les Etats homologues pour une amélioration des conditions liées aux droits humains.
Quel bilan dressé du passage du Togo devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU lors de l’Examen périodique universel (EPU) ? C’est à cette question que Ghislain Koffi Nyaku, directeur exécutif du Collectif des associations contre l’impunité au Togo (CACIT) a répondue au micro du confrère Societecivilemedias. Lire son interview.
Le pays de Faure Gnassingbé est évalué au Conseil des droits de l’homme de l’Organisation des nations unies (ONU) pour son troisième Examen périodique universel (EPU). Selon l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO), « le fond des réponses données par la délégation togolaise ne ressemble pas à la réalité que les Togolais vivent ».
Le troisième passage de notre pays le Togo à l’Examen Périodique Universel aura lieu dès les premiers mois de l’année prochaine. Tribune mise en place par les Nations-Unies pour évaluer le niveau d’immersion des Etats dans le respect des droits humains, cet examen périodique se passe devant la commission des Nations-Unies pour les droits de l’homme.
Courant janvier ou février prochains, notre pays le Togo effectuera un passage devant la commission des droits de l’homme des Nations-Unies pour les droits de l’homme, dans le cadre de l’Examen Périodique Universelle (EPU). Ce sera ainsi la troisième évaluation du genre que subira notre pays après celles de 2012 et de 2016.
Un atelier de validation du rapport complémentaire de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) au titre du troisième cycle de l’Examen périodique universel (EPU) du Togo se tient ce mardi au siège de l’institution à Lomé.
La présidente de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) a déclaré que face surtout au contexte sanitaire actuel lié à la pandémie de coronavirus, il est urgent de faire progresser les normes des droits humains.
Le Togo participera l’année prochaine, pour la troisième fois, à l’Examen périodique universel (EPU). La société civile s’organise, se prépare en élaborant ses rapports alternatifs.