Togo : Luc Kpatcha Gnassingbé abandonné par ses tigres édentés
Ses inféodés l’appelaient affectueusement «Karateka» pour sa générosité sans retenue à l’opposé de la générosité tatillonne de son frère, Président de la République qu’ils surnommaient donc de « Boxeur ». Est-il que le décor était pas mal explosif et il pouvait laisser tout présager pour des analystes pointues. Tout, certes, mais pas jusqu’à 12 ans de prison pour Kpatcha Gnassingbé sans que rien, même pas un roseau n’ait tremblé jusqu’à ce jour.