Sur son compte Twitter (X), l’ancien ministre de l’Intérieur François Boko salue la mémoire Dr Agbéyomé Kodjo, décédé le dimanche 03 mars dernier en exil au Ghana.
En exil depuis mai 2005, l’ancien ministre de l’intérieur, de la sécurité et de la décentralisation du Togo, François Boko, ne peut pas rentrer au pays pour rendre les derniers hommages à sa mère décédée, il y a quelques semaines. L’autorisation qu’il a sollicitée, lui est refusée par Faure Gnassingbé, à en croire un article du journal électronique Africa Intelligence du 25 janvier 2024.
« A feu nu », c’est un ensemble de cinq essais de Théo Ananissoh sur le Togo et l’Afrique. L’auteur propose une lecture crue et sans complaisance de la situation socio-politique de son pays et du continent. Il y aborde notamment le sujet sensible, François Boko. Dans une récente sortie, l’universitaire Togoata Apedo-Amah propose une critique littéraire assez fournie de cet ouvrage. Lisez-plutôt !
L’attaque terroriste de Kpékpakandi ayant fait 8 morts et plusieurs blessés, ne laisse aucun Togolais indifférent. Sur son compte Twitter, l’ancien ministre de l’Intérieur François Boko réagit.
Les réactions fusent de partout suite à l’inculpation des trois confrères : Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou. Sur son compte Twitter, Me François Boko monte au créneau. L’ancien ministre dénonce une instrumentalisation de la justice togolaise à des fins de règlement de comptes.
L’ancien ministre de l’Intérieur, Me François Boko a également critiqué les propos tenus par dame Victoire Tomegah-Dogbé mardi dernier à l’Assemblée nationale. Il trouve « curieuse » la nouvelle politique de santé publique du gouvernement.
L’ancien ministre François Boko conçoit mal la privatisation de la Banque togolaise pour le commerce et l’industrie (BTCI). L’avocat en exil dénonce un tour de passe-passe grotesque du régime.
« Triste et affligeante nouvelle, le Togo vient de perdre une de ses plus illustres icône de la liberté. Je salue la mémoire de Foussena DJAGBA, intrépide combattante de la liberté »
La décision de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) portant suspension du journal « L’Alternative » pour une durée de quatre mois, indigne plus d’un. L’ex-ministre togolais François Boko s’en mêle.