Le général Yark Damehame, ministre togolais en charge de la Sécurité et de la protection civile s'est exprimé sur l'accident survenu ce mardi 22 novembre 2022 à Déckon.
Des braqueurs ont, de nouveau, opéré à Lomé. Ce lundi 24 octobre, ils ont attaqué à Amoutiévé (Déckon) un convoyeur de fonds en direction de l’Aéroport international Gnassingbé Eyadéma de Lomé.
Ce vendredi 2 septembre 2022, le ministre de la Sécurité et la Protection civile assure qu’une soixantaine d’éléments issus des forces et de l’ordre ont écopé une sanction. Leurs responsabilités auraient été pointées dans certains cas d’accidents de circulation.
Ce jeudi 25 août a commencé au Centre communautaire de Pya, dans la préfecture de la Kozah le quatrième court d’état-major. Son objectif, permettre à des officiers des Forces armées togolaises « d'acquérir un haut niveau de connaissances militaires générales nécessaires à l'exercice du commandement ».
C’est à travers un tweet que le Mouvement Patriotique pour la Démocratie et le Développement (MPDD), formation politique d’Agbéyomé Kodjo a rendu publique l’information. Dans la nuit du 25 au 26 juin 2022, la fille du candidat de la DMK et son conjoint ont été agressés par des hommes armés. Acharnement contre un adversaire politique, tentative de faire peur à la DMK, réapparition des milices armées, etc. toutes les théories sont évoquées.
« Il y a du gaz lacrymogène. Il faut les enfumer ». Des paroles qui rappellent les criminels appels au meurtre de la radio des mille-collines. Ce sont pourtant ceux d’un ministre en activité au Togo. De quel animal nuisible le ministre de la sécurité veut préserver ses administrés ? Ne vous y méprenons pas, M. Yark Damehane parle avec sa morgue meurtrière habituelle de nos enfants.
Lundi, le ministre de la Sécurité et de la protection civile, Gal Yark Damehame a communiqué la neutralisation de deux malfrats au cours d'un cambriolage par une patrouille de la Gendarmerie nationale. Une opération qui s'était soldée par des échanges de tirs avec le décès des cambrioleurs.
Le ministre de la Sécurité et de la Protection civile assure être en mission contre l’extrémisme violence et le terrorisme auprès de la communauté peuhl dans l’optique de faire d’elle un allié dans la lutte contre le phénomène.
54 policiers et gendarmes ont été sanctionnés l’année dernière. Une information qui voudrait confirmer que l’impunité n’existerait pas au sein des forces de sécurité. Pourtant, les cas d’allégations de torture constituent des tas de dossiers que personne au sein de l’appareil judiciaire ne semble avoir la volonté d’éplucher.