« Tout ce qui est fait pour moi, mais à mon absence, sans mon avis, pourrait être contre moi », a estimé Trésor Noussoukpoé. Le 24 février 2022, les ministres Gilbet Bawara de la fonction publique, du travail et du dialogue social et Dodzi Kokoroko des enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat se sont entendus pour imposer ce qu’ils ont convenu d’appeler un « code de conduite des personnels des établissements scolaires et centres de formation technique et professionnelle publics ». En parfaite violation du bon sens, de la morale et du respect dû au corps enseignant.
La Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN) rejoint le Syndicat des enseignants du Togo (SET) en dénonçant avec la dernière rigueur, les propos du ministre des enseignements primaire, secondaire et technique, Dodzi Kokoroko à Dapaong le 26 mars dernier.
Le ministre des Enseignements primaire, secondaire et technique, Dodzi Komla Kokoroko est contre la vente illicite et forcée des documents dans les établissements scolaires.
Heureusement qu’il existe un pouvoir dont la mission est de surveiller toutes les pratiques qui se passent tant au sein de l’exécutif, du législatif et du judiciaire. Au ministère des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat, il y a des situations qui heurtent et appellent à un audit de conformité par rapport aux pratiques conventionnelles.
Les élèves de l’école primaire publique AGOE ANOKUI LOGOPÉ, (Commune Agoe Nyivé 1) ont le cœur dans la main. En cause, l’état défectueux des salles de classes font planer sur ces enfants et instituteurs, un danger imminent.
L'information a été rendue publique dans une note officielle signée conjointement par le ministre des Sports et des Loisirs, Dr. Lidi Bessi Kama, son collègue des Enseignements Primaire, Secondaire, Technique et de l’Artisanat, Prof. Dodzi Komla Kokoroko, et celui de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Prof. Majesté Ihou Wateba.
Habituellement, c’est l’octogénaire dictateur sénile, Paul Biya qui nomme des macchabées à des postes de responsabilité dans son pays. Vieux et malade, la momie du Cameroun, totalement coupée des réalités de son pays, se permet souvent de retenir les noms des personnes décédées dans des instances importantes. C’est ainsi qu’il est constant dans ce pays de constater que des défunts se voient honorés à de hautes responsabilités. Le fait est devenu tellement banal au Cameroun que cela ne surprend personne que leur momie de président prenne des décrets pour nommer ou promouvoir des morts à des postes importants ou encore pour leur accorder des distinctions.
Après le mot d’ordre de grève observé par la Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN) les 3 et 4 novembre dernier, les sanctions sont tombées. Et Dieu sait si elles sont lourdes. 1 345 directeurs d’écoles ont été virés de leur poste. On se doutait que ce mouvement, suivi par de nombreux enseignants, malgré la sortie de Gilbert Bawara, ministre de la Fonction publique, et de Dodzi Kokoroko celui des Enseignements, qui ont déclaré l’illégalité de cette la grève, des représailles seront sorties. Mais pas aussi lourdement.
Reçu vendredi dernier sur le plateau de la TVT, le ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat, Prof Dodzi Kokoroko, s'est prononcé sur les dissensions qui interviennent dans le secteur de l'éducation notamment la grève des enseignants ainsi que la sanction infligée aux 1192 directeurs d’établissements du préscolaire et primaire public. Dans une interview sur la chaine nationale, l'autorité y fait le point.
La Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN), est décidée à mener à terme son mot d'ordre de grève et ce, malgré les menaces brandit par les autorités du pays.