ACTUALITES PAYS Société Togo

Togo–Nathaniel Olympio déplore le décès de Laine Ornella

Le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio, est visiblement touché par le décès d’Ornella Laine, jeune femme décédée récemment au CHU Sylvanus Olympio alors qu’elle s’apprêtait à donner naissance à un enfant. Une tragédie dont la famille de la défunte accuse le personnel de santé de négligence tandis que certaines informations font état d’erreurs médicales. Un fléau dont la récurrence dans les centres de santé inquiète l’acteur politique. Dans un post sur sa page Facebook, ce dernier a dénoncé “ces drames humains” dont est victime la population togolaise et interpelle les autorités togolaises et la société civile à se pencher sur le problème. D’ailleurs lance-t-il, un appel à témoin pour recenser les décès liés à des négligences médicales.

ACTUALITES PAYS Politique Togo

Togo-Mèche Amina : L’entreprise qui piétine les Togolais

L’affaire de licenciement “abusif” des employés de la société Mèche Amina suscite encore des réactions. Dans une publication sur sa page Facebook, l’opposant Nathaniel Olympio dénonce les comportements des employeurs de ladite société vis-à-vis de leurs employés. L’homme politique invite les autorités togolaises à prendre rapidement des mesures vigoureuses pour protéger ces jeunes togolais qui travaillent à Mèche Amina.

ACTUALITES PAYS Politique Togo

Togo-Nathaniel Olympio : « Le 05 octobre 1990 n’est pas une date, c’est un cri de ralliement »

5 octobre 1990 – 5 octobre 2021. Cela fait exactement 31 ans qu’un mouvement populaire s’est ébranlé au Togo et a secoué toutes les fondations du régime du feu Général Eyadema. C’était suite à un sulfureux procès impliquant trois étudiants accusés d’avoir distribué des tracts subversifs et anti-RPT, parti unique parti-État.

ACTUALITES Afrique Diplomatie OPINIONS PAYS Politique

La souveraineté nationale existe-t-elle en Afrique de l’Ouest ?

Depuis 2018, la République centrafricaine a fait appel à la force Wagner, un groupe paramilitaire privé russe, pour la protection des personnalités et la formation de soldats de la Force armée centrafricaine (FACA), selon le discours officiel. A l’origine de cette situation, des sanctions onusiennes qui encadraient l’achat d’armement, sous la pression de la France, son partenaire traditionnel sur les questions de défense.