La presse privée togolaise est entrée dans une refonte profonde avec l'application stricte et rigoureuse du Code de la presse et de la communication. Exit donc la période moratoire accordée aux organes de presse et aux professionnels des médias pour se mettre à jour des nouvelles dispositions contenues dans ce document de référence porteur d'espoirs et d'attentes de lendemains lumineux longtemps rêvés mais souvent refoulés, par actions ou par omission.
Cela fait plus de cinq décennies que le régime togolais cherche à contrôler ou à emprisonner « Liberté ». Cela fait autant de temps que les Togolais défendent leur « Liberté », que ce soit celle d’association et d’opinion ou celle qui leur procure l’information quotidienne.
Le presse togolaise de nouveau en deuil. Le journaliste Augustin Kossi, ex employé à la Télévision togolaise (TVT), en service à la présidence de la République n'est plus.
La Convention Collective des journalistes. C'est le sujet au menu de l'émission L'Autre Journal dans son numéro N°130 2è Partie. Le confrère Alphonse Logo, ancien Secrétaire Général du SYNJIT donne les détails du contenu de cette convention dont la signature a été actée, il y a quelques semaines, par les premiers responsables de la presse togolaise.
Depuis quelques jours, circulent sur les réseaux sociaux, des informations relatives à une affaire d'escroquerie dans laquelle le confrère Théophile Kponhinto, Directeur de Publication du Journal « Le Populiste » serait impliqué.
Le quotidien Liberté ne digère pas la sentence prononcée contre lui dans l’affaire du jeune tué par balle sur la route de Tabligbo. Le confrère compte faire appel de la décision de justice rendue en première instance.
Cette sentence est relative à la plainte déposée contre le journal, son directeur et l’auteur de l’article par le Premier ministre Victoire Tomégah-Dogbé, dans l’affaire du jeune homme tué sur la route de Tabligbo. Une condamnation très sévère à la suite d’un procès expéditif qui dénote de la revanche qui se joue contre le journal.
Dans un communiqué publié le mardi 19 juillet 2022, le gouvernement togolais a rappelé que la publication des photos des personnes disparues lors des récentes attaques terroristes au nord du pays, est une infraction punissable d'autant plus que ces images sont affligeantes pour les familles endeuillées.