Nous assistons depuis des mois un déferlement des actes obscènes avec l'apparition des réseaux sociaux surtout le Tik Tok où nos jeunes se rivalisent par des vidéos pornos dans les classes, dans le bois, à la plage, en public en boîte de nuit...
Depuis hier, circulent sur internet la vidéo d’une violente bagarre entre la colleuse de vidéos ivoirienne Eunice Zounon et son supposé compagnon le chanteur camerounais Ténor. Ces genres de scènes, loin d’être des épiphénomènes marginaux, sont de grands révélateurs de l’état actuel de notre société.
Match de football et mariage ! Difficile de voir le rapport. Et pourtant un arbitre a réussi à lier ces deux passions en faisant sa demande de mariage à sa collègue de touche après avoir arrêté un petit temps le jeu.
Le mot est à l’air nouveau. Pourtant il est aussi vieux que la langue française. Mais c’est par le truchement des réseaux sociaux qu’il est remis à jour. Pour les férus des réseaux sociaux gratuits en Afrique comme tik tok, YouTube, WhatsApp, télégramme, Snapchat, Instagram etc…, il ne passe un seul jour sans que le mot « influenceur » ne sortent de leur discussion. Et au regard des défis de l’Afrique actuelle, on est en droit de se demander, quels influenceurs pour quelle influence sur quels influencés ?
Beaucoup de personnes prennent les réseaux sociaux pour un « no law land », un espace où tout est permis. Pourtant elles ont tort. Voici l’histoire du jeune ivoirien, le « garçon qui fait 10 coups » relayé par nos confrères du site d’informations Linfodrome.
