Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « Environ 33 millions d’enfants devront être vaccinés en Afrique entre 2023 et 2025 pour que le continent soit en mesure d’atteindre les objectifs mondiaux de vaccination pour 2030 »
Malgré la stabilité qu'on observe, des cas de l'épidémie Covid-19 se font enregistrés dans le pays. L'Université de Lomé se fait le devoir de mener une campagne pour appeler les populations à la vaccination.
La Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) s’inquiète de la flambée des cas de contaminations de coronavirus au Togo au cours de ces dernières semaines. L’institution exhorte « l’ensemble de la population à adhérer à la campagne de vaccination afin de parvenir à l’immunité collective ». Pour elle, l’heure est grave et il est nécessaire « de faire front commun contre ce fléau » aux conséquences dramatiques.
Cette campagne intégrée de vaccination contre les méningites à méningocoque, supplémentation en vitamine A et déparasitage à l’albendazole en effet cible les enfants de 0 à 4 ans.
Selon le ministre Charlemagne Ouédraogo l’arrivée du vaccin Johnson & Johnson qui sera suivi d’autres types de vaccin permettra au Burkina Faso « d’élargir la cible vaccinale à l’ensemble des personnes de plus de 18 ans ».
L'opposant Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo demande la cessation immédiate de l'utilisation du vaccin AstraZeneca dans la campagne de vaccination contre la pandémie de coronavirus au Togo
Des informations venant de l’Europe, abondamment relayées par des chaînes internationales dont RFI, font état de l’inefficacité du vaccin AstraZeneca. Ce vaccin causerait la coagulation du sang chez plusieurs patients qui l’ont reçu en Europe. Du coup, ces pays ont suspendu la campagne de vaccination avec le vaccin AstraZeneca.