Togo-Amnesty International detects new spywares
In a report published on October 7, Amnesty International’s computer security researchers say they identified two spyware sent to a human rights activist in Togo.
In a report published on October 7, Amnesty International’s computer security researchers say they identified two spyware sent to a human rights activist in Togo.
Dans la journée du jeudi 07 octobre 2021, 52 nouveaux cas ont été enregistrés et 135 personnes ont recouvert la guérison d’après le site officiel du gouvernement togolais. La même source a indiqué un décès supplémentaire portant leur nombre à 235.
Si dans un seul Collège d’enseignement général (CEG) de la capitale, il est fait état d’une gestion opaque sans aucun outil de vérification du ministère de l’enseignement primaire, secondaire et de l’artisanat, qu’en serait-il si on doit étendre le contrôle à tout le territoire national ? Est-il possible qu’au nom de la présidentielle de février 2020, des directeurs aient prélevé des sommes d’argent pour faire campagne ?
Outre ces nouvelles contaminations, 07 guéris et 02 nouveaux décès sont enregistrés. Alors que 09 cas graves sont en réanimation.
Lundi, les premières autorités de la préfecture de Yoto, environ 80km au nord-est de Lomé, ont posé la première pierre pour la construction d’une morgue. Seulement sur les réseaux sociaux, les internautes n’hésitent pas à critiquer ce fameux projet.
A en croire cette source, il était 23 heures, ce mercredi 6 octobre 2021, quand les faits se sont produits. Le jeune homme et sa victime rentraient tous les deux d’un show de la rue.
Pour le moment certains pays, notamment la France, ne reconnaissent pas encore le pass sanitaire de coronavirus réalisé au Togo.
Des militants togolais risquent d’être la cible de cyber-mercenaires de l’ombre qui utilisent des attaques numériques secrètes pour tenter de voler les informations privées des victimes afin de les vendre à des clients privés, a révélé une nouvelle enquête d’Amnesty International.
Samedi dernier à Ouagadougou au Burkina Faso, le PDG du groupe EBOMAF, Mahamadou Bonkoungou a fait des déclarations qui font écho à Lomé. Il a révélé que Togo, après plus de 60 ans d’indépendance, ne dispose pas d’un seul avion présidentiel. C’était au cours d’une conférence presse où il défendait sa compagnie aérienne Liza Transport international (LTI) accusée d’empêcher le gouvernement burkinabé d’acheter un aéronef.
Avec l’arrivée de la junte militaire, avec à sa tête le Col. Mamadi Doumbouya, le 5 septembre 2021, c’est « visiblement un soulagement pour l’Union des forces démocratiques de Guinée (la formation politique de Cellou Dalein Diallo-ndlr) », apprend-t-on de LeDjely.