Lorsque l’Occident engage une guerre, c’est toujours au « nom de la paix, et de la justice dans le monde ». Ses problèmes sont automatiquement ceux du monde et celui qui ne prend pas position pour lui devient un ennemi qu’il faut sanctionner. Surtout ne pas lui rappeler ses crimes, ses ratées, ses nombreuses guerres qu’il ne remporte presque jamais.
Cette fois-ci, avec l’Ukraine, l’Occident n’a jamais été aussi isolé. Mais qui mettra fin à sa dictature de la pensée qui menace plus que jamais la paix mondiale ? Qui lui insufflera l’humilité qui lui fait tant défaut ? Pourtant le Président Macron reconnaît la fin de l’hégémonie occidentale. Il faut le mettre devant sa vérité.
Dans cette nouvelle chronique, Alain Foka crève l’abcès. Suivez plutôt!
Hotep,
J’ai envoyé le lien de la vidéo à tous mes collègues Blancs. J’attends les retours.
Un grand nombre d’africains se dit que cet affrontement du bloc occidental et de la Russie via ce conflit entre le Ukraine et la Russie, ne les concerne pas vraiment peut-être parce qu’il se déroule très loin de chez eux ou tout simplement comme l’adage le dit si bien quand deux éléphants se battent dans la savane c’est sans nul doute l’herbe qui en pâti. Les africains ont oublié qu’avec la mondialisation, le monde est devenu comme un village plantaire, c’est-à-dire les événements qui se déroulent dans une partie du monde même à des centaines de milliers de kilomètres sont ressenties dans l’autre partie avec une importante intensité à quelles que nuances près. Le conflit qui fait rage en Europe actuellement, a sans nul doute exacerbé les tensions entre plusieurs pays dans le monde. Les prix des ressources énergétiques, miniers et alimentaires ont flambé en un rien de temps. Nul n’ignore que la Russie ainsi que l’Ukraine, à eux deux sont de grands greniers de blé et de mais du Monde, ces deux pays sont aussi producteurs d’une très grande part de divers d’engrais entrant dans la production agricole dans le monde. Rappelons aussi que la Russie a une part importante dans la production de pétrole et de gaz mondiale. On alors comprend alors aisément inquiétude de certains dirigeants africains qui ne savent plus à quel saint se voué dans la mesure ou la hausse du prix du baril du pétrole entraine immédiatement la hausse du prix du litre à la pompe, alors que nul n’ignore que l’augmentation du prix du litre de carburant entrain par la même occasion les tous les prix des autres produits et services. Comble de tout, la famine est à la porte des pays africains. Il va falloir en ce qui nous concerne, pays africains, changer nos mentalités et de revoir très rapidement nos critères en terme de production agricole et promouvoir pour une fois de bon la consommation locale.