L’année 2023 tire vers sa fin. Le moins que l’on puisse dire est qu’elle va se terminer comme elle avait commencé pour la majorité des Togolais.
Fade, pénible et sans joie. De l’ennui en somme, jusqu’au bout. Il est loin ce temps où beaucoup de citoyens, à l’orée de 2023 justement, s’étaient souhaité les vœux les plus imaginables qui soient : santé, prospérité, succès et tout le tremblement.
Mais à l’arrivée, l’année a été tout sauf pleine de bonheur. Ce n’était pourtant pas faute d’avoir essayé de sourire à la vie, de relativiser, de croire en eux mêmes et à la vie. Ils avaient bel et bien cet état d’esprit caractérisé par une perception positive du monde et de l’univers qu’on nomme optimisme.
Mais comme fin 2022, fin 2021, fin 2019,… ils sont revenus de leur illusion. Les « Que 2022 soit votre année, Que le bonheur soit votre allié, Que le sourire soit votre invité, Et que la joie embellisse vos journées. Je vous souhaite une belle et merveilleuse année ! >> Et toutes ces formules dégoulinant de positivité ont tourné court. Comment sourire à la vie quand on vit dans un pays qui envoie ses fils sur les routes de l’exil ?
Comment finir l’année en beauté quand le pouvoir d’achat digne de ce nom reste un leurre, que le plus grand nombre ne gagne même pas le salaire minimum, qu’il n’y a qu’une minorité qui s’accapare les richesses de tout un pays et que pour un oui pour un non ceux qui sont jugés trop dérangeants pour le pouvoir sont jetés à la prison avec ce que cela implique de fatalité ?
Pour qu’on parle d’année prospère au Togo, faudrait déjà que la situation sociopolitique soit décantée, que l’alternance, la bonne gouvernance soit un fait, et que les exilés politiques retrouvent sans crainte de ésailles aucune la terre qui les a vus tre. On est encore très loin du compte.
Source : Lecorrecteur
Le togolais ou bien l’africain est en train de se faire enrouler dans la farine. Mais il revient à l’africain de réfléchir!
Par exemple , est ce que l ‘Afrique a besoin des philosophes , des sociologues, des psychologues, des licenciés en littérature française etc… ou moment où les bonnes terres dorment????? Tout cela c’est du pipo!!!!
Au bout des années d’études, il se retrouvent sur zémédjan?????
Il faudrait un programme adéquat et adaptés pour les africains . Oh africain !!!!!!