Législatives 2024 au Sénégal : Soutien des acteurs togolais en faveur du pouvoir
Dans une lettre ouverte datée du 12 novembre 2024, la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP), un collectif regroupant…
Dans une lettre ouverte datée du 12 novembre 2024, la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP), un collectif regroupant…
As part of International Education Week, Bowie State University will host an event on November 21, 2024, celebrating the establishment…
Le Commissaire Divisionnaire Akatao Babarime a officiellement pris ses fonctions de Directeur Général de la Police Nationale togolaise ce mardi…
Dans une publication sur sa page Facebook, le journaliste togolais Carlos Ketohou lève le voile sur le passé troublant de Christian Trimua, ex-ministre des Droits de l’Homme et actuel Secrétaire général du gouvernement. Accusé d’implications dans une affaire de meurtres en série en 2012, Trimua, figure controversée, est devenu un symbole de l’impunité et du dévoiement de la justice au Togo. Une réflexion qui interpelle sur l’état des droits de l’homme et de la gouvernance dans le pays.
Au Togo, la crise politique togolaise s’enlise avec une réforme constitutionnelle décriée, qualifiée de “monstre institutionnel” par Jean Kissi, 3e porte-parole du Front Touche Pas à Ma Constitution. Invité sur Radio Victoire FM, il a dénoncé une transformation des institutions au profit d’une concentration des pouvoirs entre les mains du président.
La police de l’aéroport Mohammed V de Casablanca a procédé à l’arrestation d’un ressortissant togolais sous le coup d’un mandat…
Le Togo et 22 autres pays du continent afrcain ont exprimé leur soutien à l’initiative d’une convention sur les crimes…
Le Front « Touche pas à ma constitution » continue de s’opposer fermement au régime togolais. Nathaniel Olympio, leader du…
La Ligue des Consommateurs du Togo (LCT) réagit vivement à l’introduction de nouveaux prélèvements fiscaux sur les crédits, tels que stipulés par l’Office Togolais des Recettes (OTR) dans son communiqué du 11 novembre 2024. Selon la LCT, bien que ces prélèvements soient prévus par le Code Général des Impôts, ils constituent une double imposition injustifiable, notamment pour les crédits destinés à des fins non productives, comme les crédits scolaires. La Ligue appelle à une révision des pratiques fiscales dans la loi des finances de 2025 et exhorte les autorités à défendre les droits des consommateurs face à cette charge supplémentaire.
Les usagers du service de nationalité au Palais de Justice de Lomé dénoncent une hausse abusive des frais de stationnement.…