Togo-CPC : Une arnaque politique selon Nicolas Lawson
Le leader du Parti du renouveau et de la rédemption (PRR), n’est pas du tout d’accord avec ce qui actuellement au sein du Cadre permanent de concertation (CPC).
Le leader du Parti du renouveau et de la rédemption (PRR), n’est pas du tout d’accord avec ce qui actuellement au sein du Cadre permanent de concertation (CPC).
Le président du Nouvel engagement togolais (NET) a été élu ce mardi 15 mars président du Cadre permanent de concertation (CPC) au cours de la deuxième réunion de cette instance politique.
La deuxième réunion du Cadre permanent de concertation (CPC) s’est déroulée ce mardi 15 mars à Lomé. Et l’une des surprises du jour est le retour de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) à la table des discussions.
Deux ans après l’instauration des premières restrictions au droit de réunion pacifique justifiée par la pandémie de Covid-19, et alors que plus aucun patient n’est recensé dans les structures de prise en charge selon les autorités, Amnesty International Togo appelle ces dernières à lever l’interdiction des rassemblements de plus de 15 personnes et ainsi autoriser les manifestations.
Officiellement, le Comité d’action pour le renouveau (CAR) décline l’invitation à participer aux travaux du Cadre permanent de concertation (CPC) parce qu’il ne favorise pas un dialogue sincère. Mais en interne la donne est tout autre.
Ukraine, Poutine finira sans doute par emporter les opérations militaires, mais il a déjà perdu trois batailles importantes. Comme d’habitude, je donne mon avis sur une guerre qui accapare mon attention de par la foison des informations. Pour le militaire politicien que je suis, mon intérêt est exacerbé.
Ce mardi 15 mars 2022 a lieu à Lomé la deuxième réunion du Cadre Permanent de Concertation (CPC) initié par le régime de Faure Gnassingbé. Mais le Comité d’action pour le renouveau (CAR) ne participe pas aux travaux.
Régler la grave crise postélectorale née de l’élection présidentielle du 22 février 2020, le retour effectif et sécurisé des exilés politique, la libération des détenus politiques. Ce sont là quelques unes des conditions posées par la Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK) afin de se tailler une place au sein du Cadre Permanent de Concertation. Ces préoccupations n’étant pas pris en compte, l’organisation décline encore une fois, l’invitation du gouvernement togolais à une réunion au CPC. Dans un communiqué rendu public ce 14 mars 2022, l’entité s’étonne de l’insistance du pouvoir à la voir participer aux discussions.
Une peur panique doit gagner les palais et le club des chefs d’Etat de la CEDEAO. L’institution régionale traverse depuis quelques mois une zone de turbulences. Pas que. Tout le continent, les satrapes qui restent sourds aux aspirations profondes de leur peuple et qui s’accrochent d’années en décennies au pouvoir, par les fraudes et les hold-up électoraux, la force brute, la violence, la corruption, l’achat massif des consciences, bref le coup d’Etat permanent.
Surnommé Tintin, Boukary Ouédraogo en effet s’était présenté à la présidentielle du 29 novembre 2015 en tant que candidat indépendant.