Tout le monde sait en effet qu’au Burkina Faso, le procès Thomas Sankara qui vise à faire la lumière sur les auteurs et commanditaires de son assassinat en octobre 1987 se poursuit jusqu’à ce jour, même avec coup d’État du 24 janvier dernier qui a renversé le pouvoir de Rock Christian Kaboré.
J’imagine volontiers le tique que chacun d’entre-vous a eu à la lecture du titre de cet article. Comment est-il possible de soutenir que l’argent ne serait pas la principale clé du développement, alors que tout le monde, dans nos pays comme ailleurs, ne cherche que ce sésame pour s’affranchir du besoin, de la domination, des diktats d’autrui et de la contrainte à la soumission ?
Dans une réaction, Prof Apédo-Amah évoque la situation actuelle en Ukraine. L’universitaire togolais revient sur le traitement raciste réservé aux Noirs qui essaient de fuir l’Ukraine. Comment les Noirs sont expulsés des bus en direction des frontières polonaises et hongroise, sous prétexte qu’ils ne sont pas des vrais Européens, donc des Blancs. Lecture!
Vous êtes à la recherche d’une entreprise de qualité mais vous n’avez pas envie de perdre votre temps ? Un clic suffit pour https://publicitesentreprise.fr/ , qui examine les meilleures entreprises toutes catégories confondues et propose un annuaire d’entreprises fiable. En tant que Publicites Entreprise, notre priorité est de fournir le meilleur service à nos clients et de maintenir la satisfaction de nos clients au plus haut niveau.
En vérité, c’est banal, toujours la même chose. Beaucoup de pays africains avaient connu des coups d’État téléguidés par la France, par exemple, pour gommer un président non conforme. Ainsi, l’élimination physique en 1963 de Sylvanus Olympio, premier président du Togo indépendant.
Dans cette nouvelle édition de la rubrique “Cité au quotidien”, les deux universitaires Maryse Quashie et Roger Folikoué évoquent l’appétit vorace des puissances européenne et asiatique en l’Afrique.
Une information toute fraîche m’a fait sourire en fin de semaine dernière. Moscou interdit aux médias nationaux, publics comme privés, tout usage des termes et expressions “invasion”, “déclaration de guerre”, ou toute référence aux civils tués par l’armée russe en Ukraine.
L’étouffement était quasi total, à tous égards dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19 dans notre pays. Vote sur vote de l’État d’urgence, obligation systématique du pass vaccinal avant d’avoir accès à tout bâtiment administratif, arrêt sur pratiquement deux ans, des activités culturelles et sportives, fermeture périodique des lieux de culte, interdiction sans conditions de tout regroupement ou manifestation publique…
Ce qui se passe dans ce pays lointain intéresse l’Afrique et les Africains, qui savent ce que peuvent être les frustrations d’un peuple subissant la loi de plus fort que lui. Les affinités du moment ne changent rien à cette triste réalité.
L’attaque militaire tant redoutée ces dernières semaines a enfin eu lieu. Vladimir Poutine, le Président de la Fédération de Russie a décidé, mercredi nuit, d’attaquer l’Ukraine, un pays voisin, autrefois membre de l’ex-URSS. Les causes de cet acte de guerre sont multiples mais surtout profondes, sauf que ce n’est certainement pas le moment d’y revenir.
