Bénin-Les deux hommes enlevés à Kaboua sont libres
Selon l’un des otages libérés, c’est d’abord son compagnon d’infortune qui « a réussi à s’enfuir ».
Selon l’un des otages libérés, c’est d’abord son compagnon d’infortune qui « a réussi à s’enfuir ».
Selon Daabaaru, une source proche a confié que les ravisseurs réclament une rançon de 10 millions francs Cfa pour la libération des deux jeunes hommes. Sous menace de les exécuter.
Si les motifs de cette convocation demeurent connus, la presse béninoise, notamment des journaux locaux en ligne font le lien entre les faits de viol dont l’accuse sa secrétaire.
Les prévenus sont en détention provisoire sur décision de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Ces hommes armés non identifiés, rapportent plusieurs journaux béninois en ligne, se sont heurtés aux positions des Forces de défense du Bénin. Les échanges de tirs ont duré une quinzaine de minutes avant le retour au calme.
Des marchandises saisies par la douane et gardées dans l’entrepôt, des meubles et matériels appartenant à l’Union monétaire ouest-africaine (UEMOA) ont été consumés malgré l’intervention des sapeurs-pompiers, selon des journaux locaux en ligne.
Les assaillants, rapporte 24 Heures au Bénin, ont mis le feu ce dimanche au poste de douane de Karimama occasionnant de nombreux dégâts matériels.
Les terroristes, selon l’Etat-Major Général, ont été surpris par le dispositif de veille de l’opération Mirador pendant qu’ils s’apprêtaient à poser une mine artisanale qu’ils ont fait exploser.
« Les ravisseurs ont surgi dans son domicile et l’ont obligé à les suivre. Selon les informations, ils auraient pris la direction de Kompa, un autre arrondissement de la commune », apprend-t-on ce jour de 24 Heures au Bénin.
Les trois agents concernés ainsi que le commissaire en question ont abandonné leurs postes depuis le mois de septembre passé, lit-on.