La justice béninoise a libéré, la semaine dernière, plus d’une centaine de détenus considérés comme des présumés terroristes, au terme de procédures qui ont abouti à des non-lieux. Ils sont originaires de plusieurs pays de la sous-région.
C’est à l’âge de 14 ans, suite à des douleurs à abdominale après un avortement partiel que la fille a dénoncé le sexagénaire. Ce dernier n’a pas nié les faits à sa charge.
Les cinq fonctionnaires de la police sont soupçonnés de complicité d’escroquerie avec des cybercriminels, suite à une enquête menée par la Brigade Économique et Financière (BEF), rapporte le site d’actualité 24 Heures au Bénin.
De nationalité burkinabè, le prévenu a été surpris, le 25 mars 2021, avec deux autres individus sur moto dans une zone du Parc de Pendjari, par une patrouille de rangers. S’en est suivi une échange de tirs, le prévenu grièvement blessé a été arrêté, alors que ses compagnons ont réussi à s’échapper.
Au cours de cette rencontre axée autour du thème « Justice et extremisme violent tendant au terrorisme », Cyriaque Dossa a indiqué que « plus 700 personnes sont détenues dans les prisons béninoises pour des faits de terrorisme », a rapporté lundi le journal en ligne libre-express.com, citant une information Bip radio.
En plus de cette sentence, la CRIET a également requis une interdiction de 10 ans pour toute fonction de directeur ou d’enseignant dans une école primaire à l’encontre du prévenu.