Dans un communiqué, des organisations de défense des droits de l’homme et de la société civile alertent les autorités togolaises sur l’état de santé de plus en plus délétère des prisonniers politiques. Ces OSC évoquent le cas du nommé Yaya Soulemani, arrêté et détenu depuis le 21 décembre 2018, provisoirement et sans aucun jugement, de surcroît “victime d’actes de torture et de traitements cruels, inhumains et dégradants”, actuellement dans son 9ème mois d’hospitalisation au service Cabanon du CHU Sylvanus Olympio de Lomé. Lisez!