Des acteurs de l'opposition démocratique et de la société civile, unis sous la bannière « TOUCHE PAS À MA CONSTITUTION », lancent désormais la résistance contre le coup d'État constitutionnel intervenu dans la nuit du lundi 25 au mardi 26 mars dernier à l'Assemblée nationale par des députés dont le mandat est arrivé à terme depuis le 31 décembre 2023. Dans une déclaration, ils invitent les populations à rester déterminées.
Au Togo, les autorités ont instauré une interdiction systématique des manifestations politiques de l'opposition. Mêmes les simples réunions des organisations de la société civile jugées proches de l'opposition ne sont pas épargnées. Pendant ce temps, le parti au pouvoir, lui, bénéficie d'une plus grande liberté pour organiser ses activités. Dans un communiqué, la DMP dénonce cette discrimination flagrante.
Ainsi le peuple saisira-t-il d’un œil infaillible le détail infini et l’ensemble des formes d’une force de propositions capable des possibles dans une posture crédible. Faute de quoi, il [le peuple ] soupçonnera toujours des jeux d’ombre, et son oreille percevra les bruits sourds de petits arrangements et de petites compromissions du genre les 30 millions qui ont laissé de grandes imprégnations noires dans les esprits, et des rumeurs confuses quant à la netteté des intentions.
Bientôt les élections régionales et législatives au Togo. Le processus électorale enclenché par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) dans le cadre des deux scrutins est à l'étape du recensement et nombreux sont ces formations politiques qui s'activent pour ces échéances électorales.
Les derniers événements en provenance du Togo sont marqués par l’urgence de la réponse que toute une nation doit apporter à l’agression des terroristes au nord du pays. Les enjeux sont cruciaux et la menace réelle. Comment résoudre la quadrature du cercle de l’entrée en guerre d’un chef sans légitimité et sans troupe, face aux puissances du mal dont la déferlante risque d’emporter les fondements même de la nation.
Depuis 1963 – date que je prends comme repère, à cause de l’actualité, puisque des victimes de crimes politiques anonymes sont tombées avant et après l’indépendance – le Togo s’est installé dans une situation d’état de non droit, violateur impénitent des droits humains.
Voulez-vous de quelque chose de grand et de merveilleux à souhaiter aux Togolaises et aux Togolais ? Souhaitez-leur le Grand Pardon, et souhaitez-leur très sincèrement le Grand Pardon. Car, tous les jours d’avantage, il se révèle que c’est ce qui manque le plus à ce pays et particulièrement auprès du plus grand nombre, certes. Mais, surtout en situation de piège et de siège en velléités autocratiques, c’est le Grand Pardon qui manque le plus à l’élite politique… Quoi qu’on dise !
L'Union des forces de changement (UFC) appelle les partis politiques au dialogue permanent pour l’enracinement de la démocratie au Togo. Un appel lancé par communiqué à l'occasion du 32ème anniversaire de la journée du 05 octobre.
La confection des lois pour donner un sens juridique aux mandats multiples d'une ou groupe de personn(e)s c'est de la violation des droits de l'Homme.
Car cette méthode de confiscation de pouvoir est toujours source de conflits violents.