Togo – Drame à Agoè : Le ministre Sani Yaya face aux députés
Lors d’une séance de questions-réponses tenue ce vendredi 20 décembre 2024 à l’Assemblée nationale, Sani Yaya, ministre des Travaux publics…
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Lors d’une séance de questions-réponses tenue ce vendredi 20 décembre 2024 à l’Assemblée nationale, Sani Yaya, ministre des Travaux publics…
Le 12 juillet 2024, le Togo a conclu trois conventions de financement d’un montant cumulé d’environ 298 millions $ (180 milliards FCFA) avec la Banque mondiale, pour la mise en œuvre de trois projets prioritaires.
607 milliards FCFA en 2024. C’est le montant qu’envisage de mobiliser le Togo sur le marché des titres publics Umoa-Titres. Pour ce faire, le Trésor public a d’ores et déjà lancé un appel d’offres pour collecter 25 milliards FCFA auprès des investisseurs ouest-africains.
Mercredi, le conseil des ministres a s’est penché sur à la situation économique et financière au premier semestre 2023. Selon le gouvernement, le taux d’inflation a baissé passant de 7,8% à fin juin 2022 à 6,3% à fin juin 2023.
En marge de l’organisation de l’Africa Financial Industry Summit (AFIS) tenue les 28 et 29 novembre 2022 à Lomé, le ministre de l’Économie et des Finances du Togo Sani Yaya a accordé un entretien à Jeune Afrique dans lequel il a avancé des chiffres mirobolants qui sont véritablement sujet à caution.
À 58 ans, Sani Yaya, ministre de l’Économie et des Finances depuis 2016, est devenu un membre incontournable du gouvernement togolais. L’ancien banquier, passé par Ecobank et le groupe ivoirien NSIA, a la réputation d’être un technocrate sérieux, maîtrisant ses dossiers. Face aux crises, le Covid-19 hier, les répercussions de la guerre en Ukraine aujourd’hui, le natif de la région de la Kara défend des mesures sociales, tout en insistant sur la maîtrise du cadre macroéconomique.
Climat, terrorisme, crise économique, FMI, Zlecaf et banques africaines… Invité de Jeune Afrique et RFI lors de l’AFIS, le ministre togolais de l’Économie et des Finances livre son analyse des dossiers chauds du moment.
En conseil des ministres vendredi, 11 novembre, le budget exercice 2023 qui ressort de l’avant-projet de loi de finances est projeté à 1.957,9 milliards de F CFA en ressources et charges contre 1.875,8 milliards de francs CFA dans la loi de finances rectificative 2022, soit une hausse de 4,4%.
Ce changement n’est pas fortuit. Le ministre de l’Économie et des Finances justifie cet ajustement du budget dans son allocution de circonstance.
La vie devient de plus en plus dure. La cherté de la vie a battu un record insoutenable. Un peu partout, des mesures concrètes ont été prises pour faire face à l’inflation. Du concret, dis-je car les gouvernements sénégalais, ivoirien, ghanéen, béninois ont agi directement sur les prix des produits de grande consommation notamment le riz, l’huile, le sucre, sur le marché. Et tout citoyen peut le constater.
La rue Melonkou (Avé-Maria) qui mène au domicile du ministre Sani Yaya privatisée. Les riverains de la rue Melonkou se sont réveillés avec cette barrière de limitation de hauteur sur la rue. Du coup aucun véhicule cargo, aucun camion de ramassage des ordures ne peut emprunter la voie. Cette situation créé un désagrément pour les riverains.
Dans l’espace de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), il est observé une reprise accélérée des activités économiques. Néanmoins, elle s’accompagne de l’augmentation des prix de façon générale.
La vie chère a été un fait majeur qui a marqué l’année 2021. Au marché, tout devient cher. Autant les produits de première nécessité que les matériaux de construction, rien n’est plus à la portée. Jusqu’alors, le silence du gouvernement a été plus assourdissant. En dehors de quelques sorties du ministre du Commerce et la trouvaille d’un numéro vert, plus rien.
En effet selon un arrêté du ministre de l’économie et des finances, Sani Yaya, et en date du 11 novembre 2021, l’exécutif a donné son approbation pour le changement de la dénomination sociale de la Banque Togolaise pour le commerce et l’Industrie.
La décision de suspension des étrennes de fin d’année dans les établissements publics fait des mécontents. Si pour le ministre togolais de l’Economie, cette « pratique, fragilise la trésorerie de ces entreprises…», pour certains observateurs, il s’agit d’une “une fausse bonne idée”. En tout cas, c’est ce qu’affirme le député Gerry Taama, à travers un nouveau post dans lequel il donne son avis sur le sujet.
Dans une note circulaire datée du 11 novembre dernier, Sani Yaya, ministre togolais de l’Economie et des finances, mettait les directeurs des sociétés d’état en garde contre les « importantes dépenses effectuées par les sociétés d’état et les établissements publics au titre des étrennes »à l’occasion des fêtes de fin d’année.
Les 15 juillet dernier tombait l’information selon laquelle le gouvernement auditera les comptes des entreprises publiques, cela par le truchement du ministère de l’Economie et des finances. Cet audit qui prendra en compte les activités financières déroulées 2021, 2022 et 2023, passera notamment par une vérification générale des comptes des entreprises publiques, établissements publics, fonds d’Etat, sans parler des organismes autonomes ayant bénéficié des subventions de l’Etat.
Le gouvernement togolais dans un projet de réforme du cadre juridique d’intervention des organisations non gouvernementales (ONG), décide de suspendre temporairement l’attribution des agréments à l’endroit de ces organes.
A compter du 1er juillet 2021, des contrôles du marquage sécurisé des produits au Togo débuteront au niveau des frontières du pays. L’information a été portée à la connaissance des opérateurs économiques par les autorités togolaises via un communiqué en date du 07 mai 2021.
Depuis quelques jours, Sani Yaya, ministre togolais en charge de l’Economie n’est plus à la tête du conseil des gouverneurs de la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC). Il a cédé son fauteuil au béninois Romuald Wadagni.
Sani Yaya met en garde Global Trade Corporation SAS, CACESPIC-IF Togo Sari, ….
Le ministre togolais en charge de l’Economie, Sani Yaya met en garde les structures de trading qui opèrent illégalement sur le territoire national. Il invite les populations à une « grande vigilance », contre ces agences illégales.