Médiation RDC-Rwanda : Indignation des OSC togolaises face à la proposition de Faure Gnassingbé
Dans un communiqué en date du 11 avril 2025, quatorze organisations de la société civile (OSC) togolaise, dont le Front…
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Dans un communiqué en date du 11 avril 2025, quatorze organisations de la société civile (OSC) togolaise, dont le Front…
Jeudi 31 octobre, l’Association Togolaise des Consommateurs (ATC), la Ligue des Consommateurs du Togo (LCT) et le Mouvement Martin Luther King (MMLK) ont présenté les resultats des enquêtes de qualité des services offerts par les opérateurs mobiles au Togo. À l’occasion de la première campagne nationale de qualité de service (QoS), les conclusions soulignent des avancées notables tout en mettant en lumière les défis persistants, notamment en ce qui concerne la couverture réseau dans les zones rurales et la gestion des services clients. Les organisations appellent à une amélioration continue des services et à un engagement fort des opérateurs envers les consommateurs.
Le ministre de la Justice, Mipamb Nahm-Tchougli, a récemment tiré la sonnette d’alarme sur l’état critique des prisons togolaises, marquées par une surpopulation chronique et des infrastructures obsolètes.
Lors d’un forum consultatif conjoint des OSC et des acteurs civiques en Afrique de l’Ouest, tenu en prévision de la 65e session de l’Autorité des Chefs d’État et de Gouvernement de la CEDEAO, prévue pour dimanche 7 juillet 2024, à Abuja, au Nigeria, ces organisations ont exprimé leur préoccupation face aux amendements constitutionnels togolais.
En République démocratique du Congo (RDC), la société civile a son candidat pour la prochaine présidentielle. Il est choisi à l’issue des primaires tenues ce jeudi 5 octobre à Kinshasa.
Le meeting d’information et de sensibilisation prévu par le collectif de la société civile togolaise se tiendra finalement ce 15 avril 2023 à partir de 14 heures à Akassimé (Lomé).
Emission la “Voix du Peuple” du 30 mars 2023. Sylvains Amos et ses invités notamment Dodji Nettey-Koumou de “Veille Economique” et David Dosseh de “Front Citoyen Togo Debout” reviennent sur le meeting de la société civile interdit par le préfet du Golfe.
Contre l’impunité et les crimes économiques au Togo, des organisations de la société civile font appel à la population togolaise pour un meeting prévu le 1er avril 2023.
Des organisations de la société civile togolaise se disent préoccupées par la récurrence des attaques terroristes au nord du Togo. Dans un communiqué en date du 09 janvier 2023, elles interpellent instamment et avec persistance l’Assemblée nationale pour des actions concrètes.
Nombre d’enseignants au Togo, pour des raisons liées à des situations irrégulières sont “irrégulièrement, arbitrairement et abusivement exclus, licenciés, révoqués de la fonction publique”.
Dans un communiqué, des organisations de la société civile réagissent aux mesures prises par le gouvernement contre la vie chère au Togo. Elles invitent le chef de l’Etat Faure Gnassingbé à veiller à titre personnel à l’application de ces mesures, afin de les faire passer des simples effets d’annonce à leur effectivité véritable et immédiate.
Une assemblée générale de WANEP-Togo, une organisation non gouvernementale, s’est tenue ce mardi 21 juillet au centre Agora Senghor à Lomé au cours de laquelle elle a fait son bilan de l’année passée.
Avec le desamour si profond pour la chose publique et les structures et institutions du pays , pensez-vous que c’est la restriction de la liberté , de l’espace civique qui va mobiliser les togolais derrière vous pour lutter contre l’extrémisme violent , le terrorisme ?
Planter un arbre oui mais le planter dans un environnement propre est meilleur C’est le mot d’ordre qui a accompagné l’action citoyenne de trois organisations de la société Civile ce 1er juin 2022, journée nationale de l’arbre au Togo.
C’est la recommandation d’une dizaine d’organisations de la société civile togolaise à l’endroit des gouvernants. Outre cette proposition, ces organismes ont fermement condamné l’attaque terroriste de Kpékpakandi et appelé le peuple togolais à plus de vigilance. Ceci, à travers un communiqué en date du 12 mai 2022.
Du 9 au 10 juillet dernier à Cotonou au Bénin, s’est tenu un sommet citoyen sur la bonne gouvernance, l’alternance et la démocratie dans l’espace CEDEAO. Cette initiative du Front citoyen Togo Debout (FCTD), des Universités sociales du Togo (UST) et autres organisations de société civile de la sous-région, a été marquée par l’engagement solennel du Président béninois Patrice Talon de ne succomber au « virus du 3e mandat ». A l’issue de ce sommet, 13 recommandations ont été prises l’endroit de l’institution sous régionale, aux chefs d’États de l’espace et à la société civile elle-même. Lecture.
En conférence de presse mercredi, le Groupe des 8 organisations de la société civile a donné sa position relativement au droit à la liberté d’association au Togo, en l’occurrence le projet de loi portant modification de la loi du 1er juillet 1901. Avec 26 organisations de la société civile, le G8 se dit partant pour cette réforme à condition que le pouvoir en place veille au respect des textes en vigueur, qui régissent la vie associative car pour ce groupement l’espace civique court une grand danger.
Mardi, le groupe des 8 organisations de la société civile ont tenu avec leurs partenaires, un séminaire sur « Le droit à la liberté d’association au Togo : enjeux et perspectives ». Les participants à cette rencontre ont échangé sur les implications du projet de modification du cadre juridique portant liberté d’association au Togo, impliquant une réforme de la loi 1901. Une démarche du gouvernement que les OSC jugent non inclusive. En effet, les acteurs impliqués dans la vie associative, ces derniers craignent que l’atmosphère de l’espace civique au Togo, se détériore davantage. A cet effet, des recommandations ont été faites à l’endroit des gouvernants togolais, des OSC. Les travaux ont été sanctionnés par un communiqué de presse ce mercredi 31 mars 2021, date à laquelle a pris fin ledit séminaire.
Une rencontre d’échanges dont le thème porte sur les enjeux et perspectives relatifs au droit à la liberté était depuis hier mardi 30 mars 2021, au cœur d’un séminaire organisé par le groupe des 08 organisations de la société civile.
Face à la violation répétée des droits de l’Homme, à l’impunité devenue la chose la mieux partagée, à la restriction des espaces de liberté, à la corruption, bref, aux travers dont le régime cinquantenaire se nourrit pour s’imposer aux Togolais, des organisations de la société civile (OSC) se sont concertées pour saisir le président français, Emmanuel Macron.
Dans une note rendue publique, le ministre en charge de la Fonction publique, Gilbert Bawara a fait part de sa sanction contre Naboudja Bouraïma, fonctionnaire dudit ministère, pour indiscipline et manquement à l’obligation de réserve. Une décision que l’intéressé fustige.