Les assaillants ont dû prendre la fuite devant la puissance de feu des militaires béninois. Si aucun bilan officiel n’est établi pour l’instant, le journal béninois en ligne, parle toutefois d’un militaire légèrement blessé.
Publiée mercredi, puis relayée sur les réseaux sociaux, l'information a très rapidement fait réagir le gouvernement du Faso qui a démenti formellement soutenant « avec force qu'il n'a jamais été question de déployer des troupes étrangères sur le sol burkinabé », lit-on.
Les échanges de tirs entre l’armée et les assaillants ont duré environ une heure. Le bilan fait état d’aucune victime humaine au sein de l’armée, souligne le journal béninois en ligne sans précision de ce qui en est du côté des assaillants.
À en croire l’alliance antiterroriste intergouvernementale de pays du monde musulman, la présence sur les réseaux sociaux des enfants les expose aux groupes terroristes.
À la fermeture des classes, le 31 mai 2022, le Burkina Faso « enregistrait 4 258 écoles fermées dans 47 de ses communes. Ces chiffres ont évolué en cette rentrée scolaire avec 4 609 écoles fermées dans 76 communes (données du 7 octobre 2022) pour cause d’insécurité du fait d’attaques terroristes », renseigne l'AIB.
Afin de couper cette source de financement aux terroristes, la Coalition militaire islamique contre le terrorisme (CIMCT) conseille au public d’arrêter de « sympathiser avec les mendiants, les signaler aux autorités compétentes, puis effectuer les dons via les plateformes autorisées ».
L’attaque a eu lieu le matin du lundi 24 octobre 2022, selon l’armée qui parle de « 10 militaires tombés au cours des combats et une cinquantaine de blessés qui ont été pris en charges ».
La Norvège a introduit mardi de nouveaux avis de voyage à l'intention de ses citoyens résidant ou visitant notamment le Bénin, le Togo, le Burundi et la Tunisie.
Ces hommes armés non identifiés, rapportent plusieurs journaux béninois en ligne, se sont heurtés aux positions des Forces de défense du Bénin. Les échanges de tirs ont duré une quinzaine de minutes avant le retour au calme.
Les FAT ( forces armées togolaises), d’abord surprises par les attaques meurtrières des localités frontalières avec le Burkina, contre les civils et les hommes des leurs rangs, sont désormais à l’offensive.