Les Togolais peuvent appeler pour signaler « tout mouvement ou toute activité suspecte ». Le gouvernement a rendu public 10 numéros verts, 05 par région.
A en croire toujours AIB, mais aussi Oméga Médias, Albert Ouédraogo a souligné que les renseignements ont pu identifier le profil des terroristes présents au Burkina.
Une source, souligne l’AIB, raconte que les hommes armés non identifiés ont d’abord brûlé des installations de réseaux téléphoniques (matériels et pylônes). Ensuite, ils ont pris la direction de Balavé. Ils étaient arrivés sur de petites motos.
« J’ai perdu des êtres qui étaient pour moi, sources de soleil. Ce soleil a été mis en terre. Apparemment mis en terre. Moi je continue à en recevoir des rayons » (Christian Bobin)
Hier, c’était au nom de la Covid-19 que le régime togolais interdit toutes manifestations publiques pacifiques, et donc les activités des partis politiques de l’opposition. Aujourd’hui, le même régime prend prétexte sur le terrorisme pour empêcher les rassemblements ou manifestations politiques de l’opposition, violant ainsi les droits fondamentaux et élémentaires à la liberté de manifestation. C’est un constat que font les Forces Démocratiques pour la République (FDR) devant les médias ce mercredi.
Madame le Premier Ministre du Togo a rencontré hier des partis politiques (y compris des opposants) dans le but de sceller un « pacte patriotique » en vue de lutter ensemble contre le terrorisme. C’est une bonne démarche.
Le gouvernement a réuni les représentants des partis politiques à la Primature, jeudi 4 août, pour plaider l'unité nationale face à l'insécurité grandissante, dans le nord du pays. Certains partis n'avaient pas été conviés, mais plus de vingt formations étaient représentées, et la réunion a duré 5 heures.
La ministre des Armées a signé un arrêté précisant la nomination du Lieutenant-colonel Latiembé Kombaté à la tête de la Force de l’Opération Koundjoaré.