Liberia-Washington sanctionne un ancien chef de guerre
Accusé de corruption, Prince Johnson, un ancien chef de guerre reconverti en politique, est sanctionné par le Trésor américain.
Accusé de corruption, Prince Johnson, un ancien chef de guerre reconverti en politique, est sanctionné par le Trésor américain.
Lundi, le ministre en charge de l’Administration territoriale, Payadowa Boukpessi s’est prononcé sur le litige territorial qui oppose les Maires Aimé Djikounou du Golfe 7 et Kossi Aboka du Golfe 5. C’était à l’occasion d’une réunion assistée par les deux protagonistes.
Ce qui se passe aujourd’hui dans notre pays du point de vue de la persécution de tous ceux qui pensent autrement que ceux qui prétendent nous diriger, ressemble plutôt à de la panique. L’impression que tout observateur lucide pourrait avoir sur cette façon de montrer ses muscles de façon disproportionnée et désordonnée de la part du pouvoir togolais, est bien sûr le manque d’assurance au sein de l’autorité dirigeante.
Le Pacte Socialiste Pour le Renouveau (PSR) condamne fermement l’arrestation des journalistes Ferdinand Ayité, Directeur de publication du journal L’Alternative et de Joël Egah, Directeur de publication du journal Fraternité, placés sous mandat de dépôt pour propos mensongers. Pour la formation politique du Prof. Agrégé WOLOU Komi, cette situation traduit un “musèlement de la presse dans un contexte de violations croissantes des droits fondamentaux dans notre pays”. Aussi, dénonce-t-elle, la détention de l’activiste Fovi Katakou car selon ce parti de l’opposition, “la banalisation des détentions ternit l’image de notre pays et discrédite les institutions étatiques”. En conséquence, le PSR invite le gouvernement togolais à revenir sur le droit chemin. Un appel lancé par le Prof Wolou à travers un communiqué dont nous vous proposons lecture.
Dans un communiqué, le parti les Forces Démocratiques pour la République (FDR) s’est prononcé sur les mandats de dépôt décernés contre Ferdinand Ayité et Joël Egah et la mise sous contrôle judiciaire de Isidore Kouwonou. La formation politique de Me Apévon Dodji dénonce un acharnement contre ces journalistes et une instrumentalisation de la justice togolaise par le pouvoir en place. Lecture.
Menée par des hommes non identifiés, elle a ciblé des positions des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), a rapporté lundi l’Agence d’information du Burkina (AIB) qui, dit n’avoir disposé d’aucun bilan pendent que nous mettions en ligne cet article.
Ainsi donc le Togo, pays dont le régime est toujours dans l’obsession d’être le modèle, le « bon élève » dans toutes les catégories (sauf dans l’essentiel) sera parmi les abonnés absents du sommet sur la démocratie qu’organise l’administration américaine du président Biden les 9 et 10 décembre 2021. Pas par choix, vous vous en doutez bien, mais parce que les dirigeants récoltent tout simplement ce qu’ils sèment chaque jour dans la désespérante vie de leurs concitoyens et administrés
Dans un communiqué, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) monte au créneau et dénonce l’acharnement contre les journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou et l’activiste Fovi Katakou. Elle exige leur libération. Lecture.
Cela fait plus de 48 heures déjà que Fovi Katakou siège dans les locaux du Service Central de Recherches et d’Investigations Criminelles (SCRIC). L’activiste y est détenu pour apologie de crime, de crime et délits, incitation à la révolte contre l’autorité de l’Etat, selon les informations. L’Alliance Nationale pour le Changement, intervenant sur cette arrestation, dit condamner cette “stratégie éculée de la pensée unique qui consiste à intimider voire jeter en prison toute voix discordante”. Aussi, le parti de Jean-Pierre Fabre exige dans une nouvelle déclaration, la libération de Fovi Katakou et celle de tous les prisonniers politiques.
A travers un message tweet, la coordinatrice générale de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK), Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, a exprimé le soutien du peuple togolais au membre du mouvement Nubuéké.