Guinée-Lansana Kouyaté, ancien premier ministre, est de retour à Conakry
« C’est une immense joie de retrouver les miens. Je semble être en bonne forme et je suis heureux de rentrer », s’est réjoui l’ancien premier ministre à sa descente d’avion.
« C’est une immense joie de retrouver les miens. Je semble être en bonne forme et je suis heureux de rentrer », s’est réjoui l’ancien premier ministre à sa descente d’avion.
Sur sa page Facebook, le confrère Luc Abaki se prononce sur la crise malienne. L’ancien Directeur de LCF (La Chaîne du Future) voit la main de la France derrière les lourdes sanctionnés prononcées par la CEDEAO contre le Mali. Lecture.
Je constate que depuis 1990 l’élection n’apporte aucun bénéfice concret aux citoyens togolais. C’est un fait avéré que personne ne peut contester. C’est pourquoi, dans l’état actuel des choses, l’acteur politique que je suis, refuse d’être candidat dans une élection factice. Je continue de construire une solution appropriée pour parvenir à une transition qui conduira à la démocratie. C’est ma conviction, c’est mon engagement.
Ma position ne devrait normalement surprendre aucunes des personnes qui me lisent ici. Je suis opposé aux coups d’état militaires en Afrique.
Au nom du principe de la souveraineté, la CEDEAO n’avait pas pu imposer, à Accra, à ses États membres, la limitation de mandat présidentiel. Le Togo et la Gambie avaient refusé.
La société civile malienne réagit suite aux sanctions économiques prisées par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) contre son pays ce dimanche 9 janvier.
Le complot en gestation a été révélé le 8 janvier 2022 par un autre élément du groupe, a indiqué mardi le Parquet militaire de Ouagadougou.
À mon sens, la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a, une fois de plus, manqué le coche le dimanche 9 janvier 2022 à Accra dans sa prise de sanctions multiformes et variées contre le Mali.
En Tanzanie, il y a une crise qui secoue le parti présidentiel de sorte que le chef de l’Etat a remanié le gouvernement, limogeant trois ministres importants.
Dire que l’accord dit des braves, signé en 2020, entre l’Union des forces de changement (UFC) et le régime en place « a sauvé l’opposition » ne sonne-t-il pas comme une provocation ?