Togo – Les Togolais se reposent lundi
Réuni en Conseil des Ministres ce jeudi 29 avril 2021, le gouvernement togolais a décrété la journée du lundi 03 mai, fériée, chômée et payée et ce, sur toute l’étendue du territoire togolais.
Réuni en Conseil des Ministres ce jeudi 29 avril 2021, le gouvernement togolais a décrété la journée du lundi 03 mai, fériée, chômée et payée et ce, sur toute l’étendue du territoire togolais.
L’objet du projet de décret, indique le communiqué sanctionnant la réunion, est de plafonner la caution et la garantie de loyer et de fixer les procédures relatives au bail d’habitation.
Une enquête de l’Afrobaromètre, réseau panafricain et non-partisan de recherche par sondage, montre que la liberté d’expression est en train de décliner dangereusement.
Occasion également pour la Gendarmerie d’appeler les populations à la vigilance et à la prudence lors des échanges de monnaie.
Malheureusement, déplore un compatriote, rien n’a été fait, le danger est toujours présent.
Dans quelques semaines (9 juin prochain), la mandature actuelle de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication sera à sa fin. D’ores et déjà, le processus de renouvèlement des membres est assez avancé. On annonce des candidatures de part et d’autres. Aussi, est-il possible de retrouver des membres de l’actuelle équipe sur la liste des candidats. Mais, ce ne sera pas le cas de Zeus Komi Azidouvo, qui après juste un mandat veut passer à autre chose.
Les personnes interpellées ont été présentées devant le procureur de la République et déposées à la prison civile de Lomé et de Kara, si l’on en croit notre source.
Le Togo participera l’année prochaine, pour la troisième fois, à l’Examen périodique universel (EPU). La société civile s’organise, se prépare en élaborant ses rapports alternatifs.
Dans une interview accordée au confrère Jeune Afrique, Prof Kako Nubukpo, nouveau commissaire du Togo à l’Uemoa, revient sur la future monnaie eco, l’agenda de l’Uemoa ainsi que sur l’avenir économique du continent. Bonne lecture.
Pour le député Gerry Taama, il faudra sanctionner, « quelqu’un doit payer ».