De l’image de la démocratie sénégalaise…
De Léopold Sédar Senghor à Macky Sall, en passant par Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, les pouvoirs ne font pas de cadeaux aux adversaires, au Sénégal.
Le portail togolais par excellence!
De Léopold Sédar Senghor à Macky Sall, en passant par Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, les pouvoirs ne font pas de cadeaux aux adversaires, au Sénégal.
Les observateurs de la scène politique sénégalaise s’accordent à dire que l’allié fondamental du président Macky Sall pour se débarrasser de ses adversaires politiques gênant est la justice. Alors que Dakar, Ziguinchor et d’autres villes se relèvent lentement des violences liées à la condamnation d’Ousmane Sonko, la plaignante dans ce procès vient de faire appel du jugement.
Pendant que les partisans de l’opposition Sénégalaise protestent contre l’emprisonnement de leur chef Ousmane Sonko, provoquant des violences entre les manifestants et les forces de sécurité, la France envoie ses suggestions au pays d’Afrique de l’Ouest.
Des journaux sénégalais en ligne dont leral.net qui source Me Moussa Sarr, l’un des avocats de Ndèye Khady Ndiaye, la patronne du salon de massage incriminé a fait appel mercredi de la décision de justice.
Du 23 au 25 novembre 2018, j’ai passé 2 nuits blanches à Aubervilliers en France à préparer l’organisation du projet BokNaa, une campagne de mobilisation des sénégalais de la diaspora et de fonds au profit du Pastef, le Parti de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko.
L’information est donnée ce jeudi 06 juin par le gouvernement sénégalais à travers un communiqué du ministre des affaires étrangères publié sur les réseaux sociaux. En raison de violences contre plusieurs consulats du Sénégal à l’étrange, ceux-ci sont provisoirement fermés jusqu’à nouvel ordre.
Statu quo au Sénégal après l’explosion de violences qui a agité le pays jeudi et vendredi derniers, dans la foulée de la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse ». Dans ce contexte de tension latente, la présence de « nervis » c’est-à-dire des hommes de main aux côtés des forces de l’ordre inquiètent.
Elle a fait sa déposition au commissariat de police de Yamatogne, qui a procédé à l’ouverture d’une enquête.
Après plus de 3 jours de violentes manifestations liées à la condamnation pénale de l’opposant Ousmane Sonko, la capitale sénégalaise connait une petite accalmie. Cela a permis aux autorités de faire un bilan qui dévoile 500 personnes arrêtées par les forces de l’ordre.
La crise sociopolitique sénégalaise au cœur du débat dans la mission “La Voix du Peuple” du samedi 03 juin sur la radio Avuleté.