Galiou Soglo, fils de l’ancien Président Nicéphore Soglo, avait fait l’objet d’une tentative d’assassinat le vendredi 05 février, alors qu’il se rendait à une réunion politique dans sa ferme de Zinvie, à 35 kilomètres de la capitale Cotonou.
Par contre, les autorités indiquent que la personnalité de la comédie ghanéenne, avait fait l’objet d’arrestation par la police de Kasoa (au nord d’Accra) pour avoir «déchargé d’arme à feu dans un lieu public».
Au cours de cette réunion qui va s’ouvrir lundi après-midi, les cinq pays du G5 Sahel, notamment le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad feront le point de la situation avec leurs alliés dans la lutte contre le terrorisme au Sahel.
«Le Togo contribue depuis longtemps aux opérations de maintien de la paix de la MINUSMA, s’imposant comme un partenaire fiable dans la région dans la lutte contre le terrorisme», a-t-il poursuivi.
À l’issue de ces entretiens, l’émissaire de l’ONU a évoqué une divergence au sein de la classe politique béninoise. À l’en croire cette divergence porte sur les modalités de participation à l’élection.
Le gouvernement ghanéen a décidé de fermer temporairement l’Assemblée nationale. Cette décision fait suite une contamination de masse au sein de l’institution. Au total, 17 parlementaires et 151 membres du personnel sont contaminés.
Le lycée français de Lomé est provisoirement fermé. En cause, plusieurs cas positifs de la Covid-19 y ont été enregistrés. Ainsi, cet établissement scolaire a décidé de fermer temporairement ses portes.
Dans les prochains jours, le Togo va se doter d’un cadre de contrôle de l’énergie nucléaire. Il s’agit de l’Autorité nationale de sûreté et de sécurité nucléaires (ANSSN).
Nevertheless, the power of Lomé had confirmed to the weekly Jeune Afrique, that an international arrest warrant had indeed been “issued” and that this request had been “notified” to Interpol by the services of the Minister of Justice, Pius Agbetomey. A request which has therefore not (or not yet) been taken into account by Interpol.
Selon l’Entité des Nations unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, non seulement les femmes scientifiques « sont encore sous-représentées », mais également elles « peinent à faire reconnaître leurs accomplissements ».
