Les affrontements qui ont éclaté dans la nuit du mardi 20 au mercredi 21 septembre 2022, aux environ de 1H du matin, ont occasionné plusieurs blessés et 01 mort au sein des étudiants, d’après toujours la même source.
« L’insécurité des deux côtés des frontières a également provoqué le déplacement interne d’environ 19 000 personnes », souligne l’Agence des Nations unies pour les réfugiés.
Au total, la protection civile relève 25.495 sinistrés sur l’ensemble du pays. Ce qui est correspond à 217.684 personnes en détresse. Maradi (68.302 personnes sinistrées) et Zinder (64.743) demeurent les régions les plus touchées.
La région, souligne source susmentionnée, demeure instable au point l’on peut envisager tous les scénarios.
De l’avis d’analystes, indique la même source, les bandits armés privilégient désormais le kidnapping des femmes et des enfants. Du fait que ces derniers sont plus dociles contrairement aux hommes. Mais aussi, surtout que le paiement de la rançon est plus rapide quand les otages sont des femmes ou des enfants.
L’information, a rapporté vendredi ActuNiger, est contenue dans le bulletin des opérations n°0022/2022 de la Direction de l’Information des Relations Publiques et des Sports des Forces Armées Nigériennes.
Une hausse de 17,5% par rapport à Mai 2022 selon le rapport du mois d’Août du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), a-t-on appris de ActuNiger.
Au total, la protection civile a dénombré 91.510 sinistrés des inondations, 10.705 ménagés concernés et 9.788 mais touchées à la date du mercredi 24 août 2022.
La protection civile a recensé 8.883 maisons effondrées, 9.997 ménages concernés et 85.690 personnes touchées. Un bilan lourd par rapport aux chiffres de la semaine dernière.
Dans les détails, la protection civile dénombre 8. 299 maisons effondrées, 842 cases endommagées et 9. 207 ménages sinistrés, entre autres dégâts. Les inondations ont également fait 40 décès, 55 blessés.
