« La France ne joue aucun rôle dans ces évènements, qui relèvent strictement de la politique intérieure du Tchad. Les fausses informations sur une prétendue implication de la France n’ont aucun fondement », souligne le communiqué.
En plus des gaz lacrymogènes, les forces de l’ordre tirent également des balles réelles. A en croire le journal tchadien en ligne, plusieurs morts sont signalés dont un journaliste et un policier.
Selon le site alwidainfo.com, c’est le ministre secrétaire général de la Présidence de la République Ngothé Gatta qui a fait l’annonce de la nomination du président de l’UNDR, Saleh Kebzabo, au poste de premier ministre de transition.
Selon le journal en ligne tchadien, ces participant expriment ainsi leur mécontentement du fait, selon eux, de manque de prise de parole durant les discussions.
Soupçonné de détournement des fonds de la Société tchadienne des Hydrocarbures (SHT), le Général Idriss Youssouf Boye a été depuis arrêté par l’Agence nationale de sécurité (ANS).
Selon le journal tchadien en ligne, la jeune fille d’abord fui le village afin d’échapper au mariage forcé. Elle s’était réfugiée auprès de son oncle. Ce dernier habite dans un village voisin.
Selon le journal tchadien en ligne, Max Loalngar a annoncé lundi un appel téléphonique du Directeur de la Police judiciaire lui demandant de se présenter aux Renseignement généraux avec son avocat.
La police a fait usage de grenades lacrymogènes pour tenter de dissuader les manifestants qui ont riposté en lançant des cailloux, a rapporté le journal tchadien en ligne.
Un policier déployé pour encadrer la manifestation a été blessé par l’explosion d’une grenade lacrymogène qui est tombée par inadvertance de sa main dans le véhicule dans lequel il se trouvait.
Les deux frères voulaient allumer le feu quand l’incendie s’est déclaré. La fille âgée de 6 ans et son frère de 3 ans ont été mortellement brûlés par le feu.