Pendant ce temps, des ghanéens sur les réseaux reprochaient le silence du Président Akufo-Addo après l'ouverture de ce centre en janvier par Rights Ghana avec le soutien des étrangers (blancs).
Pendant ce temps, les autorités ghanéennes exhortent le public à coopérer avec le gouvernement dans l'administration de ces vaccins à leur arrivée dans le pays.
Cela a été révélé mercredi lors de l'interrogatoire de la ministre ghanéenne chargée des Communications et de la numérisation, Ursula Owusu-Ekuful, face à une Commission des parlementaires.
Ces alertes font suite à des informations selon lesquelles trois personnes sont décédées en Guinée et quatre autres auraient des symptômes de la maladie à virus Ebola.
Le Burkina Faso, le Tchad, le Mali, la Mauritanie et le Niger prennent part à cette rencontre avec le Président français, Emmanuel Macron qui suit l'événement par visioconférence. Au menu des échanges, la lutte anti-terroriste dans la région du Sahel.
« Nous souhaitons pouvoir, avec l'arrivée de la nouvelle administration américaine, obtenir l'assurance que ces moyens soient prolongés, et pourquoi pas renforcés », a déclaré Florence Parly, la ministre français des Armées.