Notre pays ne peut plus prendre le risque d'organiser des élections biaisée à la suite desquelles le ou les vaincus sont proclamés vainqueurs par, en premier, une CENI de bande organisée et, ensuite, par une Cour constitutionnelle dont les juges, peu recommandables, se permettent de rafistoler gauchement et bêtement les chiffres déjà mal famés annoncés par la CENI.
Par quel autre moyen peut-on contraindre les membres de la CENI du Togo à proclamer les résultats issus des urnes ? C’est une question qui taraude mon esprit depuis un moment.
« Si un parti est préoccupé par la situation actuelle des formations de l’opposition, c’est bien UNIR», avait récemment déclaré le ministre Foli-Bazi Katari. Du berger à la bergère, l'opposant Francis Pedro Amuzun répond au ministre. « Si le chef de l'État et le RPT-UNIR étaient aussi sûrs que l'opposition n'existe plus au Togo, vous n'auriez plus besoin de fraudes avant d'espérer gagner », a-t-il lancé. Lisez !
Dans une lettre ouverte, le conseiller municipal Francis Pedro interpelle le président Macron sur la situation sociopolitique au Togo. « Il est bien temps que vous demandiez au chef de l’Etat Faure Gnassingbé de libérer notre pays. (…) Parce que la France a l’obligation morale d’aider le Togo à se sortir de la lancinante crise socio-politique qu’il vit depuis ce fatidique assassinat déguisé en coup d’État militaire le 13 janvier 1963 », a-t-il écrit.
In this period of preparation for parliamentary elections in Togo, the Togolese politician Francis Pédro Amuzun, a municipal councilor, and presenting himself as "citizen of the world" again addresses António Guterres, the Secretary General of the United Nations (UN).
Francis Pédro Amuzun, un conseiller municipal, et se présentant comme « citoyen du monde » saisit de nouveau António Guterres, le Secrétaire général de l’Organisation des nations unies (ONU) en prélude aux élections en cours de préparation au Togo.
Francis Pédro AMUZUN, l'un des leaders de l'Alliance nationale pour le changement est manifestement contre le discours du ministre Gilbert Bawara à l'inhumation de Patrick Lawson. Pour lui, le ministre en charge de la fonction publique a sali la mémoire du désormais ancien 1er vice-président de l'ANC à travers son allocution.
L’Alliance nationale pour le changement (ANC) a pris part à la rencontre initiée par Victoire Domegah-Dogbé, le chef du gouvernement, dans le but de créer une unité nationale face à l’insécurité dont l’origine est l’extrémisme violent au nord.
Dans une lettre ouverte, Francis Pedro Amuzun de l'Alliance Nationale pour le Changement (ANC) saisit le Secrétaire Général des Nations-Unies, António Guterres sur la situation sociopolitique togolaise. « Les malheurs du Togo se comptent par milliers et ce, dans le silence ou l’inaction des Nations Unies », a déploré Francis Pedro. Lisez plutôt!
Dans une tribune libre, Francis Pedro Amuzun de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) se prononce sur la situation sociopolitique du pays. L’homme politique ne reste pas indifférent à la misère de ses compatriotes. Il exprime son indignation, dénonce la mauvaise gouvernance érigée en règle au Togo.