Le président français, Emmanuel Macron conduit la France à sa perte en Afrique car sa position paternaliste et arrogant vis-à-vis du Niger, un État souverain, sans la moindre humilité, conforte plutôt la junte au pouvoir et dresse sans en rendre compte, les Africains contre la France.
Emmanuel Macron, dès l’entame de son premier quinquennat, a indiqué qu’il entend rebattre les cartes de la diplomatie française en Afrique. Selon lui, « l’âge de la françafrique est révolu ». Il n’imaginait pas être pris au mot comme cela est le cas actuellement sur le continent.
Les militaires qui ont renversé Ali Bongo, juste après la proclamation de sa victoire aux présidentielles du week-end dernier, procèdent actuellement de nombreuses arrestations notamment au sein de la « Young Team » qui a émergé autour du clan Bongo.
Tôt aujourd'hui, l'armée du Gabon a communiqué la mise en résidence surveillée du président Ali Bongo. Cette situation découle d'un coup d'État intervenant à la suite d'une élection présidentielle contestée par l'opposition.
Les militaires viennent d'annoncer la mise en résidence surveillée du président Ali Bongo suite à l'annonce qu'il a gagné l'élection présidentielle du samedi 26 août dernier.
Pour l’instant, le coup de force militaire contre le régime d’Ali Bongo Ondimba est en marche. Tout porte à croire que c’est la fin d’une dynastie au sommet du Gabon. C’est aussi l’avis de l’activiste togolais David Kpelly dont voici l'analyse, courte mais incisive.
Les Gabonais célèbrent le renversement de leur président Ali Bongo, après qu'un groupe de hauts gradés militaires au Gabon a affirmé avoir pris le pouvoir tôt mercredi matin, quelques minutes après l'annonce par l'organe électoral de l'État d'Afrique centrale que le président sortant avait remporté un troisième mandat.
Un groupe de militaires met fin au régime d'Ali Bongo, peu de temps après la proclamation des résultats officiels lui donnant une victoire avec 64, 27% des suffrages exprimés.
Les Gabonais sont toujours dans l'attente des résultats des élections générales organisées trois jours plus tôt. Ce mardi, Francky Meba Ondo, vice-président de REAGIR, a été arrêté. « C'est une interpellation arbitraire », a assuré le président de ce parti d’opposition, François Ndong Obiang.