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Au Mali, les autorités de transition ont annoncé le report de l’élection présidentielle à une date inconnue et accusent une entreprise française de « prise d’otage ». Prévue pour février 2024, cette élection est censée marquer la fin de la période de transition et le retour à l’ordre constitutionnel, après le coup d’État militaire d’août 2020.
Face aux déclarations controversées que servent aux togolais, les leaders politiques ayant participé aux derniers travaux du Cadre Permanent de Concertation (CPC) sur la reprise du recensement électoral dans la zone 1 du pays, il serait d’intérêt public que la télévision nationale (TVT) soit autorisée à diffuser les séances de réunion dudit cadre.
Il s’agit d’un constat fait par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI). Ils sont des milliers, ces électeurs qui se sont inscrits sur plusieurs listes au cours du recensement électoral qui a pris fin juin dernier au Togo.
C’était l’un des sujets phares au menu des travaux de la 10eme session du Cadre Permanent de Concertation (CPC). Il s’agit de la reprise de l’opération du recensement électoral dans la zone 1. Seulement, le régime oppose un refus à cette demande de l’opposition et avance des arguments.
Les travaux du Cadre Permanent de Concertation ont pris fin hier jeudi. Faisant le point de cette session, le président du cadre, Pacôme Yawovi Adjourouvi a laissé entendre qu’il n’est pas question de revenir sur le recensement dans la zone 1.
Le Président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) s’est exprimé une fois de plus sur le recensement électoral dont il réclame tout comme d’autres leaders de l’opposition, une reprise des opérations dans la zone 1 notamment. Au micro du confrère Peter Dogbé, correspondant RFI, il révèle qu’il « y a une volonté d’organiser un recensement frauduleux ».
A l’instar de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP), le Comité d’Action pour le Renouveau (CAR) exige également la reprise de l’opérations du recensement dans la zone 1.
Gerry Taama s’est rendu, une seconde fois, dans la région des Savanes où se déroule le recensement électoral. Voici ce que le député, également président du Nouvel engagement togolais (NET) constate.
Le renouvellement de la liste électorale se poursuit à l’intérieur du Togo, précisément dans le nord où la Commission électorale nationale indépendante (CENI) évoque un afflux croissant nécessitant une prolongation dans cette Zone tout comme dans les deux précédentes.
En conférence de presse jeudi 01 juin 2023 à son siège à Lomé, l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) interpelle le régime et exige que la CENI revienne dans zone 1 pour y poursuivre l’enregistrement des électeurs délibérément abandonnés.
Lundi, la CENI a bouclé le processus de recensement dans la zone 2 (régions des plateaux). La prochaine étape étant la zone 3, la Dynamique pour la majorité du peuple (DMP) à travers un communiqué lance un appel solennel aux populations des régions des savanes et de la Kara.
Intervenant sur la prorogation du recensement dans la zone 2 sur sa page Facebook, le leader du Nouvel engagement togolais (NET), Gerry Taama a salué la démarche de la CENI. Mais, l’acteur politique est toutefois réservé face aux dysfonctionnements relevés au cours du processus d’enrôlement et interpelle l’opposition.
Jeudi, la Dynamique pour la majorité du peuple (DMP) a rendu public par communiqué, son état des lieux relatif au recensement en cours dans la zone 2 (Région des plateaux) au Togo. Le regroupement de partis politiques y dénonce de nombreux disfonctionnements au rang desquels figure l’enrôlement des mineurs. En conséquence, la DMP fait des recommandations à la CENI et invite la population à faire preuve de vigilance.
Les opérations de renouvellement de la liste électorale dans la zone 2, comptant pour les élections législatives et régionales de cette année au Togo, sont prolongées jusqu’au lundi 29 mai, 2023.
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) proroge le recensement dans la zone 2 en « raison de l’affluence de la population dans les centres de recensement et de vote ».
Le recensement électoral comptant pour les prochaines élections législatives et régionales au Togo a démarré ce weekend dans la zone 2, conformément au nouveau chronogramme de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Mme Yawa Kouigan, Maire d’Atakpamé donne son point de vue sur le déroulement de l’opération dans sa ville.
Après un premier report, la Commission nationale des droits de l’Homme (CENI) annonce le démarrage du recensement électoral dans les zones 2 et 3 dans une note.
Prévu du 13 mai au 3 juin 2023, le recensement dans les zones 2 et 3 a été reporté par la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
L’information vient de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Le processus de recensement prévu dans les Zones 2 et 3 au Togo est prolongé à une date ultérieure.
Dans la presse mardi à Lomé, la Dynamique pour la Majorité du Peuple a encore dénoncé les dysfonctionnements qui ont entouré les opérations de recensement dans la Zone 1. Au sujet de la visite du chef de l’Etat en France, la DMP invite le président Macron à saisir l’occasion pour régler avec Faure Gnassingbé, “la question de l’alternance à la tête du Togo pour laquelle les Togolais ont toujours voté dans leur majorité”. En intégralité, la déclaration liminaire ayant sanctionné cette rencontre avec les médias.
Toutes les forces vives de la nation togolaise sont unanimes sur le fiasco du recensement électoral organisé par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) dans la Zone 1. Et malgré tous les griefs légitimement relevés, la CENI n’en a que cure. Est-ce que ce recensement reflète déjà l’image des prochaines élections au Togo ?
Les dysfonctionnements contrastés lors du processus d’enrôlement des électeurs au Togo seraient sciemment orchestrés? C’est du moins ce que exprime, prof Ayayi togoata apédo-amah dans une courte réaction dont nous vous proposons lecture.
En conseil des ministres ce lundi 8 mai 2023, le ministre d’Etat, ministre chargé de l’Administration territoriale, Payadowa Boukpessi a rendu compte du déroulement du recensement électoral démarré depuis le 29 avril 2023 dans la zone 1.
Prévu jusqu’à samedi, la Commission électorale nationale indépendante a dû proroger le recensement à Lomé jusqu’à ce lundi. Les opérations se dérouleront ensuite dans d’autres zones du pays jusqu’au 3 juin. RFI a fait le tour de quelques centres de recensement, dimanche, dans les quartiers périphériques à l’est de la capitale.
Face aux manquements que soulève le recensement électorale en cours au Togo, l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) fait des recommandations à la CENI. Rendant public un communiqué en date du 03 mai 2023, le parti politique du Pr Aimé Tchabouré Gogué demande une prolongation d’au moins une semaine du processus d’enrôlement dans la zone 1.
Reçu vendredi sur les ondes la radio Nana FM, Togbui Dagban Ayivon du Comité d’Action pour le Renouveau (CAR) s’est prononcé sur l’actualité sociopolitique du pays, notamment les prochaines élections régionales et législatives, le recensement électoral en cours au pays et le rififi au sein de sa formation politique.
Durant toute cette première semaine de recensement électoral, plusieurs voix se sont élevées pour demander une prorogation substantielle des 8 jours initialement prévus pour la zone 1, au regard de l’affluence et des multiples « couacs » émaillant le processus. Pour toute réponse, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) n’accorde que 2 jours.
Le début du processus pour les élections législatives et régionales de cette année au Togo, marqué par le recensement, est déjà entravé par de multiples complications. Celles-ci révèlent une sorte de précipitation qui flirte avec de l’impréparation au niveau de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
La Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) réclame une prorogation de 10 jours dans le cadre des opérations de recensement électorale en cours au Togo. Un processus entamé en amont aux élections régionales et législatives prévues cette année. A la date du 3 mai 2023, la DMP par communiqué a informé l’opinion des graves manquements observés au cours de l’enrôlement des citoyens togolais. Ainsi, l’organisation estime qu’une “prolongation s’impose”.
Devant la presse ce jeudi 04 mai 2023, les responsables de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) ont fait le point de l’opération de recensement électoral en cours dans la Zone A. Ils ont soulevé plusieurs anomalies et exigent du gouvernement et de la CENI, la reprise ou la prorogation des opérations dans la Zone A. Lecture.
Le parti politique les Forces démocratiques de la République (FDR) déplore « les conditions exécrables dans lesquelles se déroulent les opérations dans presque tous les centres de recensement où il est notre entre autres » et demande une prolongation des opérations d’enregistrement.
Dans un communiqué, la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) demande à la CENI de prolonger la durée du recensement électoral dans la zone 1 vue les réalités sur le terrain. Lisez plutôt!
Depuis le 29 avril 2023, date du début du recensement électoral, des couacs et des difficultés techniques sont apparus ça et là dans l’ensemble des lieux retenus pour l’enrôlement des électeurs.
Les longues files d’attente dans les centres de recensement à Lomé démontrent l’engouement des populations pour l’opération. Seulement de nombreux citoyens rencontrés dans lesdits centres dénoncent la nonchalance des agents recenseurs et les phénomènes de favoritisme qui crispent l’atmosphère.
Le recensement en prélude aux prochaines élections au Togo a démarré depuis ce 29 avril et Dr Gilchrist Olympio, le Président national de l’Union des forces de changement (UFC) appelle ses compatriotes à aller se faire inscrire sur la liste électorale.
Le recensement électoral a démarré ce samedi 29 avril 2023 sur l’ensemble du territoire. Dans un communiqué, la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) qui suit de près l’opération a noté des irrégularités durant cette 1ere journée. Lecture.
Le Mouvement Martin Luther King (MMLK), à l’instar des partis politiques de l’opposition, invite les Togolais à se faire enrouler lors des prochaines opérations de recensement qui se tiendront sur l’ensemble du territoire du 29 avril au 03 juin 2023.
Pour les prochaines élections, notamment les régionales, le recensement démarre le 29 avril pour prendre fin le 3 juin 2023. Décision officielle !
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) poursuit les préparatifs pour la tenue des prochaines échéances électorales au Togo, notamment les régionales et les législatives.