Espagne- Daniel Alves écope quatre ans et demi de prison pour viol
Le tribunal de Barcelone condamne, ce jeudi 22 février, l’ex-défenseur du Barça Daniel Alves à quatre ans et demi de prison pour viol.
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Le tribunal de Barcelone condamne, ce jeudi 22 février, l’ex-défenseur du Barça Daniel Alves à quatre ans et demi de prison pour viol.
« Le médecin légiste a confirmé que la septuagénaire a été violée à maintes reprises. Un prélèvement d’ADN a ensuite confirmé l’implication du beau fils dans cette affaire de viol. »
C’est à l’âge de 14 ans, suite à des douleurs à abdominale après un avortement partiel que la fille a dénoncé le sexagénaire. Ce dernier n’a pas nié les faits à sa charge.
La fille qui a été placée au centre d’accueil AEMO, après avoir fui le domicile parental, estime qu’elle a été violée trois fois par son papa. Ce dernier, a-t-elle dit, « a commencé à abuser de moi il y a environ neuf mois ».
À la barre le mercredi 21 décembre 2022, les mis en cause ont reconnu les faits et imploré la clémence du juge, a-t-on appris de 24 Heures au Bénin.
Selon Banouto qui rapporte l’information, les faits jugés mardi « se sont produits le 16 juillet 2022 dans le 1er arrondissement de Cotonou. Après une soirée de gala de passation de charge dans un club de service, le mis en cause a abusé d’une femme handicapée qu’il devait ramener chez elle (…) », lit-on.
Il est reconnu coupable de viol répétitifs sur sa fille mineure. « Ayant déjà passé plus de 04 ans en détention, il retourne en prison purger le reste de sa peine », a rapporté jeudi 24 Heures au Bénin.
Selon 24 Heures au Bénin qui a rapporté l’information, l’affaire qui remonte à 2019 a été tranchée le vendredi 25 juillet 2022 par le par tribunal de Cotonou.
« Aujourd’hui aussi, c’est un autre jour ! », cette formule consacrée des réseaux sociaux convient parfaitement pour décrire cette scène effroyable.
Face à la justice lundi, le violeur présumé a nié les faits qui lui sont reprochés. Le tribunal de première instance de Cotonou l’a condamné à 07 ans de prison ferme.
Selon 24 Heures au Bénin qui cite une information de Frissons Radio, les parents de la petite fille de 9 ans ont déclaré d’abord avoir surpris l’homme dans une position « suspecte dans sa case » avec leur enfant. Ensuite, la petite fille, lit-on, s’est plainte après de douleurs au niveau de son sexe.
Les trois individus « se sont relayés sur elle avant de l’abandonner dans un piteux état sur les lieux du viol collectif, puis de disparaître dans la nature », écrit leral.net qui cite une information du journal « Les Échos ».
A la barre le vendredi 25 mars 2022, le mise en cause a été condamné par le tribunal d’Abomey-Calavi à une peine de 10 ans de prison et à une amende de 2 millions de francs Cfa, d’après toujours la sources sus évoquée.
Arrêté le 21 mai 2020, il est poursuivi pour pédophilie et détournement de mineure. Ainsi, il a été condamné à 10 ans de réclusion criminelle.
Des sources de 24 Heures au Bénin, les deux complices ont d’abord soutiré de l’argent à la petite fille pendant qu’elle rentrait du marché. Puis, ils ont conduit la fillette à la maison. Avant d’abuser d’elle.
Les faits qui se sont produits en janvier 2022 à Glo-Djigbé dans la commune d’Abomey-Calavi sont révélés au grand jour parce que la fille est enceinte, a rapporté 24 Heures au Bénin.
Les deux apprentis chauffeurs ont été présentés lundi procureur de Diourbel pour viol sur une personne vulnérable après enquête de la police, a-t-on appris.
L’affaire a été examinée à la session criminelle du Tribunal de première instance de deuxième classe d’Abomey-Calavi le lundi 7 mars 2022.
« On était sept (7), mais ce n’est pas tout le monde qui a abusé d’elle, c’est moi et trois autres qui l’ont touché, nos deux autres amis étaient en train de filmer avec le téléphone (…) », a avoué un des jeunes agresseurs.
La victime, une petite fille de 10 ans, selon les sources de 24 Heures au Bénin.
Présenté à la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet), le mis en cause, a-t-on appris du journal en ligne béninois, a été déposé en prison pour viol sur mineure en attendant la suite des enquêtes.
Arrêté par la gendarmerie, l’agresseur présumé affirme être possédé par des démons. Il a été déféré au parquet de Diourbel.
La police a pu arrêter 04 personnes un mécanicien de 20 ans et un apprenti menuisier. Ce dernier est âgé de 18 ans.
Après l’accord des parents, le « charlatan », emmena la fille chez lui. La surprise, la séance de délivrance s’est rapidement transformée en partie de sexe. C’est les cris de la jeune fille qui ont alerté le voisinage, d’après les mêmes sources.
« L’homme après les attouchements a trainé la jeune fille dans sa chambre pour entretenir des relations sexuelles avec elle. Il aurait violenté la jeune fille qui, finalement a été secourue par l’épouse », écrit le site d’informations béninois.
Le jeune en question, un apprenti forgeron de son état, a indiqué la même source, est soupçonné de viol sur une femme. « Il serait ivre au moment de l’acte », lit-on.
Des faits survenus vendredi dernier à Gouécké, dans la sous-préfecture de N’Zérékoré, a rapporté ledjely.com.
« Au Nigéria, une loi pour castrer les violeurs d’enfants a été adoptée à Kaduna. Après la criminalisation du viol, le Sénégal doit assortir de la peine de prison d’une castration chimique des violeurs quelle que soit la victime », suggère Moustapha Diakhaté.
Le tribunal de première instance de deuxième classe de Parakou a condamné deux hommes à cinq ans de prison ferme et une amende de 100 mille francs Cfa, pour « abus sexuel et escroquerie. »
A en croire cette source, il était 23 heures, ce mercredi 6 octobre 2021, quand les faits se sont produits. Le jeune homme et sa victime rentraient tous les deux d’un show de la rue.
Selon les informations, les deux filles, respectivement âgées de 11 ans et 13 ans ont révélé avoir été violée à plusieurs reprises par leur propre père. Des accusations confirmées par son fils.
A noter que les faits, rapportent ces médias locaux, se sont produits à Dangbo, dans le département de Ouémé.
Le premier âgé de 26 ans est accusé d’avoir abusé d’une mineure de 17 ans qui se trouve être élève dans un collège au Togo.