Ni son âge avancé, 93 ans presque, ni ses services rendus à la nation, ni surtout son statut de prélat ne les ont aucunement dissuadés de lui réserver un tel traitement. Mgr Kpodzro, en choisissant le camp de l’opposition, donc du peuple, pour dénoncer la dictature, la malgouvernance, les massifs détournements de fonds publics, les nombreuses violations des droits de l’homme, et demander un peu plus de liberté et de démocratie pour son peuple, était devenu persona non grata sur sa terre natale, comme beaucoup d’autres citoyens togolais, civils comme militaires, comdamnés à une mort précoce, à la prison ou à un exil forcé pour leurs opinions politiques…»